À l’heureux, heureux
Au caractère heureux, la nature sourit
Le vent se change en brise, en de douces caresses
Le sol est radieux quand la pluie le nourrit
L’eau est source de vie offrant plein de richesses
Tout est beau tout est bien dès que l’aube apparait
Après le mauvais temps vient toujours une étoile
La nuit est un espoir quand le noir disparait
L’attente est un désir au ciel qui se dévoile
Mais il existe aussi, malheur au malheureux
Quand le vent est tempête en tuant son village
Ravageant sa maison, l’habillant tel un gueux
La misère en nos cœurs trouble le paysage
Faut-il être béat, admirer le rêveur
Marcher sur un chemin qu’importent ses virages
Bien fixer le soleil, aveuglé de bonheur
Alors que près de nous, la mort fait des ravages !