PARFOIS, je me laisse aller à y croire....

REPONSE A CLAUDE...sur sa tristesse...

                         Parfois, je crois au ciel...
                         aprés mon tour de Vie

Chaque jour, je rejoins un peu plus  mes ancêtres ;
Chaque nuit, je m'endors en songeant que, peut-être,
Je vais me réveiller avec mes chères sœurs,
Et mon frère, cadet, inondé de bonheur.
Et, partant, je me rêve, serein, et confiant,
Convaincu de revoir tout ce qui fut mon temps.
Parfois, à bout de force, souvent sans le moral,
Je me fais à  l'idée d'oublier tout ce mal,
De ressentir l'amour, et la joie de « poursuivre »,
En complète euphorie, le rêve de revivre,
Dans un « ailleurs-Eden », qui m'invite à le suivre.
Alors j'écris selon que je fus « or ou cuivre ».
ON m'a posé sur terre pour aimer l'existence,
J'assume donc le fait d'avoir quelques souffrances,
Quelques méchancetés, ou quelques maladies.
Des douleurs « familiales », torturant mon esprit.
Et j'en suis arrivé presque au terme prévu ;
Apte à « me » recevoir, toutes idées reçues.
Alors, je m'offre à vous, « sages », ou, peut-être, Saints,
Pour quelque punition, qu'ON me promet, sans fin.
Je suis idiot, naïf...et je m'offre, païen ...
J'avais rêvé d'amour, était-ce vraiment vain ?

Très beau poème Momo, le tien est plus émouvant on ressent vraiment de la tristesse qui t'envahit.

Que peut-on faire ou changer quand on pense à quitter l'existence ?
On nous a posés sur terre, on nous a donné une famille, un lieu, un pays, on nous donne des lois, des ordres, on nous laisse tout juste la liberté de penser mais d'agir beaucoup moins, alors on espère que les on-dit sur un autre univers existe, un meilleur, un plus juste, un où l'amour règne ! Si les erreurs, les quelques fautes que nous avons commises ne sont pas trop méchantes et si l'on a compensé par de la compassion, d'avoir pu aimer ou au moins respecter, ce que nous a offert la nature, ses habitants et ceux qui sont dans le besoin, la route sera sans encombre Momo. Je sais tout le bien que tu as réalisé pour les tiens, ceux qui avaient besoin de ton aide, alors la route est belle !!!

je pense sincèrement qu'il n'est pas vain de rêver d'amour
les quelques fautes commises pendant son existence sont pardonnées dès lors que l'on pense à son prochain avec amitié et respect. Avec l'âge, la sagesse s'installe et une nouvelle vie nous est offerte : à nous de la suivre jusqu'au bout, sans douter ni revenir sur le passé
J'aime beaucoup ce poème intimiste Momo
Amitiés

La tristesse est un mal qui se soigne par le bien, La Palice aurait pas dit mieux mais il aurait su d'un jeu de mots redonner sourire et gommer ce noir....
Cette plume nous enchante et nous fait oublier les maux de la terre...
***DAN***