Foncer dans le brouillard..(d'après l'image du mois)

Encore une vision différente pour cette image proposée. Nous voilà dans le brouillard, entourés de corbeaux, et puis au loin, un océan éphémère et un appel au voyage. Très agréable lecture. Bonne journée.

Bonjour Tonin,

J'aime beaucoup ta vision de ce tableau.

Bien sûr tu nous offres en prime
Un magnifique sonnet aux rimes
Encore choisies avec grand soin
Lire tes sonnets devient besoin.

Je suis sous le charme.

Merci et belle journée

On peut essayer d'imaginer ta pensée aussi comme la plus évidente celui qui fait sa dernière marche pour sortir de ce brouillard ou le tunnel, comme nous le raconte assez souvent les personnes dans le coma.
Une situation plutôt imaginée quand son chemin va sur le point de se  terminer, mais qui pour ce personnage altier et sans reproche va   confiant d'être accueilli sans remontrance dans un nouvel avenir, lieu de sérénité, et comme tu le dis non pour en être banni.
J'aime bien ce poème Tonin, et te remercie pour ta participation !
Ta description est très belle et nous fait suivre cet homme dans cette ambiance un peu effrayante !
Bon lundi au soleil !

fripou a écrit:

Encore une vision différente pour cette image proposée. Nous voilà dans le brouillard, entourés de corbeaux, et puis au loin, un océan éphémère et un appel au voyage. Très agréable lecture. Bonne journée.

Les fantasmes sortent du travers de cerveau et s'envolent lentement...

Rien ne justifie la fin...seule la pensée qui fleurit au printemps

bonne journée Fripou
Toni

CLARI a écrit:

Bonjour Tonin,

J'aime beaucoup ta vision de ce tableau.

Bien sûr tu nous offres en prime
Un magnifique sonnet aux rimes
Encore choisies avec grand soin
Lire tes sonnets devient besoin.

Je suis sous le charme.

Merci et belle journée

Les yeux embrumés m'ont présenté cette image en tête et le pinceau est parti tout seul à tracer des contours insoupçonnés
..

bien à toi Clari
Tonin

Tonin Dulot a écrit:

Non ! Je ne rêve pas. C’est une silhouette
Qui fend là, devant moi, ce voile de brouillard.
Le galurin posé sur le chef du vieillard
Finit de peaufiner son image douillette.

Au ciel ensorcelé, le chant d’une alouette
Me dit que son survol au mandat fort braillard
Surveille sans défaut, tel un joyeux briard,
Le vol de ces corbeaux qu'on prend pour girouette.

Les arbres secoués se penchent vers les bords
Où des prés sans bétail offrent leurs verts décors
Au marcheur ahuri qui soigne son allure.

Au fond du long tunnel qui fuit vers l’avenir
Il me semble entrevoir quelque haute voilure
Qui vient pour me haler et non pour me bannir.
.
.
.

Magnifique Tonin
une très belle poésie avec une image qui a beaucoup de sens
belle soirée
Amitiés
Pronto

Je découvre ce matin,
Cher Tonin,
Ton interprétation,
Ta version,
De cette belle image,
Sur ta page.
Je ne peux qu'applaudir,
Et te lire
Est pour moi une fête,
Cher POETE!


Merci pour ce très beau texte!
Bellysa

Flamme a écrit:

On peut essayer d'imaginer ta pensée aussi comme la plus évidente celui qui fait sa dernière marche pour sortir de ce brouillard ou le tunnel, comme nous le raconte assez souvent les personnes dans le coma.
Une situation plutôt imaginée quand son chemin va sur le point de se  terminer, mais qui pour ce personnage altier et sans reproche va   confiant d'être accueilli sans remontrance dans un nouvel avenir, lieu de sérénité, et comme tu le dis non pour en être banni.
J'aime bien ce poème Tonin, et te remercie pour ta participation !
Ta description est très belle et nous fait suivre cet homme dans cette ambiance un peu effrayante !
Bon lundi au soleil !

Le contexte ici décliné est celui de l'imaginaire pur...

On laisse aller sa pensée où elle veut bien te conduire...

Ici, je reste encore dans le tunnel..de l'espoir
Tonin

Pronto68 a écrit:

Tonin Dulot a écrit:

Non ! Je ne rêve pas. C’est une silhouette
Qui fend là, devant moi, ce voile de brouillard.
Le galurin posé sur le chef du vieillard
Finit de peaufiner son image douillette.

Au ciel ensorcelé, le chant d’une alouette
Me dit que son survol au mandat fort braillard
Surveille sans défaut, tel un joyeux briard,
Le vol de ces corbeaux qu'on prend pour girouette.

Les arbres secoués se penchent vers les bords
Où des prés sans bétail offrent leurs verts décors
Au marcheur ahuri qui soigne son allure.

Au fond du long tunnel qui fuit vers l’avenir
Il me semble entrevoir quelque haute voilure
Qui vient pour me haler et non pour me bannir.
.

Magnifique Tonin
une très belle poésie avec une image qui a beaucoup de sens
belle soirée
Amitiés
Pronto

Merci pronto de venir en souvenir du temps passé

bonne soirée
Tonin

Bellysa a écrit:

Je découvre ce matin,
Cher Tonin,
Ton interprétation,
Ta version,
De cette belle image,
Sur ta page.
Je ne peux qu'applaudir,
Et te lire
Est pour moi une fête,
Cher POETE!


Merci pour ce très beau texte!
Bellysa

Découvrir en avril quand on peut quitter le fil...c'est super cool
Tonin