Quand les rêves soudain ont disparus
Que la vie s' éteint de manque d'oxygène
Entre les murs bien trop étroits devenus
Et les gestes barrière, en rituels d'hygiène
Plus rien ne bouge et tout se fige
Vois ce monde qui s'isole se confine
Qui combat l'invisible, pour rester vivant
Et ces rues désertes, devenues orphelines
Sous un ciel sans avion ni cerf-volant
Juste cet oiseau libre comme l'air et le vent