Sous le meilleur côté... (Poème d'humour)

Bonsoir mon Dédé...C est l'histoire SEMPITERNELLE du verre à
moitié vide, pour le pessimiste, et à moitié plein, pour l optimiste....Perso, je vide le verre et  je gémis que le monde est injuste....comme Callimero...BISES...euh..... as-tu croisé le chirurgien ?   bises...

Flamme a écrit:

Déjà être optimiste ou pessimiste dépend du caractère de la personne et il faut bien l'avouer, bien difficile de le changer.
Pourtant, il est vrai que de voir le bon côté d'une situation, malgré qu'elle soit plutôt mauvaise, permet de trouver des solutions, des portes ouvertes. Celui qui est enfoncé dans le noir, ne voit plus rien, la porte est et restera fermée, et pensera que tout ira à l'échec.
Je pense qu'il faut un juste milieu et cela en toute chose. Notre grand philosophe Aristote m'en a appris les bienfaits !
Ni trop, ni trop peu, agir à bon escient, avec un peu de bon sens et faire de son mieux pour ne rien se reprocher...après, advienne que pourra !
Tes poèmes amusants André, nous permet de réfléchir à nos comportements...et peut-être à nous corriger quand cela est souhaitable !
Bisous et merci d'être notre joyeux ami.
 

Bonsoir FLAMME,

Un GRAND MERCI pour cette intéressante et appréciée analyse qui a retenu toute mon attention. Et oui, comme disait Léon DAUDET, fils aîné d'Alphonse : "Autant l’optimisme béat, c’est-à-dire inactif, est une sottise, autant l’optimisme, compagnon de l’effort, est légitime.”

L'optimisme, c'est voir la vie à travers un rayon de soleil, même quand le ciel est nuageux. Comme tu le dis avec sagesse : il est vrai que de voir le bon côté d'une situation, malgré qu'elle soit plutôt mauvaise, permet de trouver des solutions, des portes ouvertes. Si l'on voulait répondre "mathématiquement" à cette réflexion, peut-être pourrait-on dire : parce que les faibles ont des problèmes et les plus forts ont des solutions.

Mais ce serait trop facile, car l'être humain ne se résume pas qu'à ces deux observations. Nous sommes ce que nous sommes, avec nos sensibilités différentes, et des moyens de réagir différemment devant l'adversité. Il n'y pas de solutions toutes faites, il n'y a que le mouvement, que la vie, que le travail ; des peines, des douleurs et des joies. Et c'est souvent la solution du bon sens qui entre en considération.

Mon poème ne donne aucune solution ; il expose seulement mon état d'esprit et, peut-être, quelques moyens pour relativiser les situations lorsqu'elles peuvent être minimisées. Il invite, fidèle, à ma philosophie, en tout cas, à vivre pleinement notre CARPE DIEM.

MILLE pour ton intérêt de lecture, FLAMME.

DE GROS DE NOUS 3.

Douce soirée.

MOMO13 a écrit:

Bonsoir mon Dédé...C est l histoire SEMPITERNELLE du verre à moi tié vide, pour le pessimiste, et à moitié plein, pour l optimiste....Perso, je vide le verre et  je gemis que le monde est injuste....comme Callimero...BISES...euh..... as tu croisé le chirurgien ?   bises...

Bonsoir, mon Cher MOMO,

Eh oui, tu as entièrement raison de considérer le "problème" sous cet angle de la galéjade. Je ne peux qu'adhérer à tes propos. C'est d'ailleurs presque toujours sous le signe du badinage et du calembour que je "dédramatise" les sujets pourtant sérieux que j'aborde souvent par le biais de ces poèmes sur les antonymes, tout en laissant à chacun le soin d'y apporter sa propre conclusion.

Moi, quand mon verre est plein, je le vide, et quand il est vide, je le plains.



Je redeviens sérieux, et pour répondre à ta question sur le chirurgien, je t'ai laissé hier, en MP, un message à cet effet. Je ne pense pas que tu en aies pris connaissance. Va voir sur "Messages" dans le forum. Je te tiens informé de la suite demain ou après-demain au plus tard.

DE GROS BISOUS DE NOUS DEUX.

CARPE DIEM

Lucienne MARTEL a écrit:

Excellente philosophie de vie à laquelle j'adhère à 100%. Je suis comme toi, du négatif, j'en tire du positif, un soupçon mais suffisant pour passer le cap
j'adore ce quatrain emprunté malgré moi à ta superbe poésie :
"Car la « sérénité demeure une conquête »,
Avait écrit Maurois, avec intensité.
Cette citation, j’en ai fait ma recette,
Plus qu’un but, un devoir, dont je suis habité" ce sentiment m'habite aussi et c'est peut-être du à notre âge, la sagesse aussi m'habite : je suis plus réflêchie dans mes actes et mes paroles et je miniùise plus facilement que dans mon jeune âge
Nous avons encore l'esprit de nos vingt ans, André avec sans doute plus de modération.
merci pour ce magnifique poème humoristique et plein de bon sens. Bisous  

Bonsoir LUCIENNE,

Bien sûr, qu'il faut voir les choses avec la jeunesse de l'esprit et non avec notre âge biologique. Tu as raison quand tu parles de la sagesse qui vient avec l'âge, et de la manière de minimiser certains évènements. Je considère l'âge comme une grâce qu'il faut mériter, et non comme un poids qui nous écrase. Je l'ai souvent dit. Et si chaque âge a ses problèmes, eh bien on les résout à l'âge suivant.

À 70 ans, je me dis que je suis toujours dans le "moyen-âge" et non dans un âge avancé. Si j'avais une comparaison à faire, je dirai que suis dans l’âge du caoutchouc : celui où les consciences sont élastiques.



Qu'Est-ce que l'âge, finalement ? Si ce n'est une vue de l'esprit ! Et l'esprit, c'est le sourire de la vie !

MILLE pour cette SUPERBE analyse à laquelle j'adhère de tout cœur.

DE Chère LUCIENNE

Je te souhaite de passer une agréable fin de journée.