Après avoir partagé pendant plusieurs années, par de réelles affinités, ce sentiment réciproque d’affection et de sympathie qu’on appelle l’amitié, faite de sérieux, puis de rires et de compréhension mutuelle, puis, après avoir partagé … bien plus encore … même si un certain manque a fait tache, comment peut-on du jour au lendemain, ne plus se connaître ?
- Nous cachons-nous du soleil parce qu’un jour ses rayons ont brulé notre peau ?
- N’étions-nous rien, pour être devenus aujourd’hui, moins que rien ?
- Jetons-nous un fruit mûr, parce qu’une éclaboussure a taché sa peau ?
- Et que meure son prochain, sans qu’on n’en sache rien ?
Ce silence, cette absence de présence, ce mutisme obstiné est une absurdité.
L’être humain est bien trop compliqué pour un jour trouver la paix.
L’orgueil qui le pousse lui fait perdre toute notion d’humilité, de simplicité qui lui permettrait de mieux comprendre sa propre race et ses faiblesses… DONT ACTE !