Après les fêtes (Humour)

APRÈS LES FÊTES...

HUMOUR

La France a pris un coup de grippe et de gastro,
L'entérite devient la maladie "courante" ;
On prend son rhume en grippe et l'on se rend au trot
Aux latrines du coin, colique fulgurante.

Que vous soyez assis à table ou sur le trône,
Le va et vient fréquent donne quelque sueur ;
L'intestin , en gastro, c'est certain, ça ramone,
Le ventre barbouillé, arrière train frondeur.

Si vous êtes passé distant de la colique,
Qu'aucun excès, non plus, ou trouble digestif,
En ces fêtes n'ait mis votre côté tonique
À mal par les abus dus au climat festif,

Estimez-vous heureux, louez la providence ;
Mais par précaution, malgré tout, pesez-vous,
Il se pourrait fort bien qu'au verdict la balance
Pèse plus qu'il ne faut, assurez-en le coût.

ANDRÉ

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

ben pas chez nous, la balance dort aussi et on ne veut pas la réveiller !!! sourir

Pas de plats qui font grossir, donc repos pour les intestins !
Virginie a eu froid à son travail car le chauffage s'arrête à 15h ...elle tousse comme une malheureuse et après son travail direct chez son docteur !
Très amusant ce poème avec tes jeux de mots et les soucis d'un hiver avec ses microbes !
Bisous et bon repos clin2

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Après les fêtes (Humour) 110108034927815720

Flamme a écrit:: ben pas chez nous, la balance dort aussi et on ne veut pas la réveiller !!! Pas de plats qui font grossir, donc repos pour les intestins !
Virginie a eu froid à son travail car le chauffage s'arrête à 15h ...elle tousse comme une malheureuse et après son travail direct chez son docteur !
Très amusant ce poème avec tes jeux de mots et les soucis d'un hiver avec ses microbes !
Bisous et bon repos

Je vois que vous avez été raisonnables pour vos repas de fin d'année. Il en a été de même pour nous. Nous avons privilégié surtout les coquillages. Pas d'abus d'alcool ni de vin, et dégustation mesurée des chocolats, tandis que nous avons passé un bon moment à regarder les numéros du Grand Cabaret. Cela nous a rappelé de bons souvenirs lorsque nous travaillions à deux sur scène en manipulation et en grandes illusions.

J'ai concocté ce petit poème vite fait, vite écrit juste avant de nous coucher, le 1er janvier, vers 2 heures du matin. Il n'a pas la texture des poèmes élaborés... disons qu'il s'agit plutôt de poésie fugitive pour commencer dans l'humour la nouvelle année.

UN GRAND MERCI, Chère FLAMME. J'espère que VIRGINIE va mieux, sortant peu à peu de son rhume.

PASSEZ UNE DOUCE SOIRÉE.

NOUS VOUS EMBRASSONS BIEN AFFECTUEUSEMENT.

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

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