Comme le pense Lucienne, on ne voit pas les mots imposés tant tes vers coulent sous notre lecture ...Un défi invisible à nos yeux et pourtant réussi !!!
C'est exactement ce qui se passe lorsque nous marchons dans les allées de ces cimetières !
Ton dernier tercet est bien ce que l'on ressent quand nous sortons de notre visite :
Lorsque le jour s'éteint enivré de silence
Ne reste que l'écho de ceux qui ont vécu
Dont le glas du destin vient souligner l'absence
C'est superbe ! Tes mots sont des pensées allongés sur le chemin de la vie ! J'adore, bien entendu !