Dans le silence du vent

J'ai écouté le vent fredonner au silence
Quelques notes de nuit nées en pays d'ailleurs
Elles contaient des temps aux instants rimailleurs
En semant des mots doux au ciel de l'existence.

Il sillonnait sans fin en faisant diligence
La terre et l'océan aux reflets d'orpailleurs
Soulevant leurs destins pour les rendre meilleurs
Murmurant au hasard d'un ton de confidence.

Avant de repartir au jour de son voyage
Il remit à l'oiseau son plus tendre message
Emporte dans ton vol des tourbillons d'amour.

Pose les sans compter aux rives d'une branche,
Aux sources du ruisseau, sur l'ombre d'un détour,
Pour que sur l'univers, tombe leur avalanche.

Un vent qui donne de tendres conseils au bel oiseau pour qu'il sème l'amour de branche en branche ! Comme c'est bien dit et agréable à entendre
Bisous calinchat

Après la lecture d'un tel sonnet, il est difficile de trouver un qualificatif pour en louer l'inspiration, la versification parfaite et l'enthousiasme qu'il procure à la lecture.

Non, non, FRIPOU, ce n'est pas de la flagornerie... c'est L'ÉVIDENCE !!!

Tu sais combien je suis tatillon sur le fond, la forme et l'inspiration. Même si je voulais trouver la moindre observation cela s'avèrerait impossible.

TOUT EST PERFECTION. Certainement l'un de tes meilleurs sonnets écrit à ce jour... et comme les autres sont du même niveau, tu comprendras TOUT LE PLAISIR que j'ai eu en lisant ce SILENCE DU VENT. Je n'ai rien d'autre à ajouter.

ET pour le partage.

Flamme a écrit:: Un vent qui donne de tendres conseils au bel oiseau pour qu'il sème l'amour de branche en branche ! Comme c'est bien dit et agréable à entendre
Bisous

En ces périodes troubles, il est bon de formuler des mots d'affection pour compenser la cruauté du monde. bisounours

André Laugier a écrit:: Après la lecture d'un tel sonnet, il est difficile de trouver un qualificatif pour en louer l'inspiration, la versification parfaite et l'enthousiasme qu'il procure à la lecture.

Non, non, FRIPOU, ce n'est pas de la flagornerie... c'est L'ÉVIDENCE !!!

Tu sais combien je suis tatillon sur le fond, la forme et l'inspiration. Même si je voulais trouver la moindre observation cela s'avèrerait impossible.

TOUT EST PERFECTION. Certainement l'un de tes meilleurs sonnets écrit à ce jour... et comme les autres sont du même niveau, tu comprendras TOUT LE PLAISIR que j'ai eu en lisant ce SILENCE DU VENT. Je n'ai rien d'autre à ajouter.

ET pour le partage.

On pourrait croire que mes chevilles vont encore enfler chienquirit

mais contre toute attente, c'est un genou récalcitrant qui prend de l'ampleur. Je me demandais quelle en était la cause... Maintenant je le sais... Tout est de ta faute chienquirit

Merci pour ces éloges qui me touchent et belle journée. grosbiz

fripou a écrit:

André Laugier a écrit:: Après la lecture d'un tel sonnet, il est difficile de trouver un qualificatif pour en louer l'inspiration, la versification parfaite et l'enthousiasme qu'il procure à la lecture.

Non, non, FRIPOU, ce n'est pas de la flagornerie... c'est L'ÉVIDENCE !!!

Tu sais combien je suis tatillon sur le fond, la forme et l'inspiration. Même si je voulais trouver la moindre observation cela s'avèrerait impossible.

TOUT EST PERFECTION. Certainement l'un de tes meilleurs sonnets écrit à ce jour... et comme les autres sont du même niveau, tu comprendras TOUT LE PLAISIR que j'ai eu en lisant ce SILENCE DU VENT. Je n'ai rien d'autre à ajouter.

ET pour le partage.

On pourrait croire que mes chevilles vont encore enfler chienquirit

mais contre toute attente, c'est un genou récalcitrant qui prend de l'ampleur. Je me demandais quelle en était la cause... Maintenant je le sais... Tout est de ta faute chienquirit

Merci pour ces éloges qui me touchent et belle journée. grosbiz

Bonjour FRIPOU,

Quand on est poète il vaut mieux être enflé au niveau de la cheville qu'avoir la grosse tête. J'espère que ce désagrément a dû se résorber à ce jour et que cela ne te pose plus de problèmes douloureux. En tout cas, et même si c'est de ma faute je sais que ce que j'ai écris à ton endroit (et ce que je pourrais écrire à l'avenir sur ta poésie), ne sera jamais une faute de goût.

UN NUAGE DE

Douce journée à toi.

CARPE DIEM

André Laugier a écrit:: On pourrait croire que mes chevilles vont encore enfler mais contre toute attente, c'est un genou récalcitrant qui prend de l'ampleur. Je me demandais quelle en était la cause... Maintenant je le sais... Tout est de ta faute
Merci pour ces éloges qui me touchent et belle journée.

Bonjour FRIPOU,

Quand on est poète il vaut mieux être enflé au niveau de la cheville qu'avoir la grosse tête. J'espère que ce désagrément a dû se résorber à ce jour et que cela ne te pose plus de problèmes douloureux. En tout cas, et même si c'est de ma faute je sais que ce que j'ai écris à ton endroit (et ce que je pourrais écrire à l'avenir sur ta poésie), ne sera jamais une faute de goût.

UN NUAGE DE

Douce journée à toi.

CARPE DIEM

[/quote]

Si l'enflure semble avoir diminué, la douleur, certes amoindrie, est toujours présente hélas. Je crains de ne pas être au point physiquement pour les prochains JO chienquirit

.
Mais bon c'est le vieilloux sans doute qui fait naître les douleurs de l'âge grosbiz

[/quote]

fripou a écrit:

André Laugier a écrit:

fripou a écrit:

André Laugier a écrit:: On pourrait croire que mes chevilles vont encore enfler mais contre toute attente, c'est un genou récalcitrant qui prend de l'ampleur. Je me demandais quelle en était la cause... Maintenant je le sais... Tout est de ta faute
Merci pour ces éloges qui me touchent et belle journée.

Bonjour FRIPOU,

Quand on est poète il vaut mieux être enflé au niveau de la cheville qu'avoir la grosse tête. J'espère que ce désagrément a dû se résorber à ce jour et que cela ne te pose plus de problèmes douloureux. En tout cas, et même si c'est de ma faute je sais que ce que j'ai écris à ton endroit (et ce que je pourrais écrire à l'avenir sur ta poésie), ne sera jamais une faute de goût.

UN NUAGE DE

Douce journée à toi.

CARPE DIEM

Si l'enflure semble avoir diminué, la douleur, certes amoindrie, est toujours présente hélas. Je crains de ne pas être au point physiquement pour les prochains JO chienquirit

.
Mais bon c'est le vieilloux sans doute qui fait naître les douleurs de l'âge grosbiz

L'âge n'est qu'une vue de l'esprit, ma Chère FRIPOU. Regarde, Paul CLAUDEL disait : "Quatre-vingts ans c'est l'âge de la puberté académique.” Tu as encore de la marge !!! Et à défaut de jeux olympiques, il faut te dire que si le sportif rêve son rêve ; en poésie, quand on atteint le haut niveau, on le vit. Le gagnant est celui qui a le plus grand contrôle de ses émotions. Et la seule compétition qui existe réellement, Chère FRIPOU, c’est celle que nous faisons avec nous-mêmes. Le poète est un nouveau-né à tout âge.

DE GROS DE NOUS TROIS.

Bon dimanche !

André Laugier a écrit:: L'âge n'est qu'une vue de l'esprit, ma Chère FRIPOU. Regarde, Paul CLAUDEL disait : "Quatre-vingts ans c'est l'âge de la puberté académique.” Tu as encore de la marge !!! Et à défaut de jeux olympiques, il faut te dire que si le sportif rêve son rêve ; en poésie, quand on atteint le haut niveau, on le vit. Le gagnant est celui qui a le plus grand contrôle de ses émotions. Et la seule compétition qui existe réellement, Chère FRIPOU, c’est celle que nous faisons avec nous-mêmes. Le poète est un nouveau-né à tout âge.

DE GROS DE NOUS TROIS.

Bon dimanche !

Me voilà donc rassurée !!! Ouf chienquirit

et belle soirée à l'ombre à vous trois.

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