Bonjour Babette. Quand on aime, on partage, le bon comme le mauvais. Et encore, je vous ai épargnés. Je n’aime pas m'étendre sur mes maux ni me plaindre ; cela ne sert à rien et c'est très négatif pour autrui. En général, quand je souffre, je ne le dis pas : j'aurais tendance à me retirer de la vie sociale et m'entourer de silence. mes grande soeurs le savent : quand elles n'ont pas de nouvelles de moi, cela signifie que je vais mal. Mais ouf ! cela va beaucoup mieux. j'ai retrouvé mon rythme et mon inspiration et l'envie d'avancer et de tourner la page sur ces mauvais moments passés.J'avoue que, pour moi, l'écriture est une excellente auto-thérapie. Elle me libère par vers interposés et mots bien disposés et choisis.Et de ne pouvoir écrire pendant neuf mois par manque d’inspiration et d'envie a contribué à saper mon moral davantage. j'avais peur que ma plume soit stérile à jamais. Merci de ton passage et de tes mots si gentils. Belle journée à vous et gros bisous