A l’homme de la rue,

Joli poème, j'aime beaucoup.

Joli message aussi que tu passes là.
Il est malheureusement plus facile de s'indigner chez soi que de sourire, seulement, à celui qui ose demander de l'aide pour survivre.

Ce sujet me rappellera toujours La grasse matinée de Jacques Prévert (dans Paroles, si mes souvenirs sont bons)

Bonne journée

L'indifférence gagne hélas l'humanité... Celui qui ne rentre pas dans la norme se retrouve oublié du monde, seul, à étaler sa vie de misère sur un triste banc.

Ces pauvres personnes...difficiles à prendre en mains leur vie, ils ont leurs circonstances atténuantes certainement et leurs défauts aussi.
Les aider, mais comment ? Ils ne veulent pas trop aller dans les logements qui leur sont offerts...tous ensemble, peur des vols, leur chien n'y ont pas droit, et on leur parle comme a des simplets, des ignares.
De même dans les aides pour donner la nourriture...enfin je comprends leur réticence et en même temps, on doit mettre dans sa poche toute fierté quand on demande la charité!!!
Ton poème nous en parle avec ce que l'on doit ou peut en ressentir, et que l'on passe avec indifférence devant leur misère...pas tout le monde Lucienne, mais il est préférable de connaître la personne pour aider, et de donner un sou est aussi une sorte de complaisance pour soi-même, pour s'enlever tout remord !
Un difficile sujet !

merci les Filles de votre lecture sur ce sujet quelque peu épineux. il est vrai qu'il nous est difficile de les héberger car ils ont presque tous des chiens, ils ne supportent plus d'être entre quatre murs mais il est regrettable de les laisser tomber d'autant qu'il y encore plus de jeunes dans les rues. Personnellement, je les aide en leur offrant un encas et un soda pour améliorer leur quotidien
Bisous à vous trois et excellent dimanche