CONTRE L'EXPERIMENTATION ANIMALE (poème dédié à Flamme)

Ne martyrise pas les petites souris ;
Cela ne sert à rien. Jamais la médecine
N’a progressé d’un poil parce qu’on assassine
Une humble souris noire, un cochon d’Inde gris.

Peux-tu penser, pauvre être, aux animaux meurtris,
Pour ta gloire imbécile ? Alors là, j’hallucine,
Car j’entends tes propos plus creux qu’une bassine ;
Ton cerveau de minus et ton cœur sont flétris.

Imagine qu’un jour, un crétin lamentable
Te ligote, serré, te couche sur sa table
Et te dissèque à vif pour le monde animal ;

Les deux mains et les pieds cloués sur une planche,
Tu voudrais le traiter d’assassin, d’anormal…
Tu fais la même chose, ignare en blouse blanche.

Il serait enfin temps qu'on comprenne la cruauté et l'inutilité de certaines pratiques moyenâgeuses...
Mais que vaut l'animal contre l'espoir de richesses à venir ?
Pffff

Tu as tout à fait raison Pierrot, cela ne sert à rien, nous ne réagissons pas du tout comme nos animaux et de les faire souffrir ainsi est ignoble !
Ils devraient arrêter puisque l'animal est considéré comme être sensible et souffrant comme nous !
Je trouve formidable quand des jeunes vont les libérer...il n'y en a pas assez !!!
Merci pour ton poème qui me plait beaucoup !

En plus, je le répéterai tant que j'aurai un souffle de vie, l'expérimentation animale est à l'origine de graves erreurs médicales. Oui, je suis pour ceux qui libèrent des animaux et mettent le feux aux animaleries. On devrait les récompenser au lieu de les poursuivre au nom de la vie animale.
Hélas ! il y aura toujours de cons pour prétendre que la vivisection est utile.

Bonne après-midi.

     

Il est vrai Momo que tu m'as fait peur quelques mini secondes !!!
Mais c'est bien ce que penses nos laboratoires et pourvu que leurs médicaments soient vendus, c'est bien ce qui compte !
Et pour les hommes, je ne serais pas contre des essais pour ceux qui ont tué en série, violé et qui récidivent en les mettant dehors après bonne conduite... ils ont pris à la société, il faut qu'ils rendent à la société et non ces pauvres étudiants et bénévoles faire des expériences pour un peu de sous et qui risquent d'en pâtir toute leur vie !
Nous n'en sommes pas encore là pour les clonages mais la perversion de l'homme en fera bien des remplacement d'organes pour les riches de ce monde !
Pour les pauvres, c'est déjà réalisé, pour avoir de quoi manger, mais pour le moment ce n'est pas contre leur volonté, enfin j'espère...en tous cas ils n'ont pas droit aux produits bio,vendus 3 fois plus cher que les autres.
Et pour les vieux qui coûtent beaucoup de sou à la sécu, on va les aider à aller sous d'autres cieux très certainement un jour !
As-tu vu le film "Soleil vert " ? Rien ne se perd tout se transforme !
Lavoisier avait déjà trouvé la solution sans le vouloir !
Si le mépris, pour tout ce qui est vivant, (hommes, animaux, nature) continu...nos petits petits... enfants verront des horreurs !
Il faut détrôner le pouvoir du FRIC voilà la solution !
Bonne journée

Tu verras ma réponse à ton retour.
J'ai une idée, prendre les cons pour les expérimentations. Y aura du monde au portillon en plus.
Comme on est toujours le con de quelqu'un, je ne me sens pas trop rassuré tout de même.

A Bientôt ami poète.

J'avoue parfois être affolé en pensant à ce que verront mon petit-fils et mes petits neveux et nièces quand ils seront en âge de se poser des questions sur l'absurdité de ce misérable bipède qu'on appelle humain. Quant à leurs enfants... J'espère égoïstement être parti à ce moment-là.
Je me répète, persiste et signe, l'expérimentation animale est parfaitement inutile. Qu'on m'apporte la preuve du contraire.

Bon week-end à tous.

Merci pour eux, alors voilà ils vous le disent eux même!

Belle rime avec rebelle. Ce devrait même devenir ce qu'on appelle en prosodie une rime surabondante, à l'exemple de nourriture et pourriture. Je m'égare. Les choses étant ce qu'elles sont, la poésie sert à idéaliser mais rien ne l'empêche de dénoncer des horreurs, de l'injustice, de la détresse et de la misère. Phénomène flagrant de résonance, j'ai vu ce matin à la télévision un document montrant des chiens et des chats détenus (il n'y a pas d'autres mots) dans des conditions absolument effroyables.
Rassurez-vous, ami poète, on continuera d'approuver les corridas et de considérer le sort des lévriers de course comme des cas isolés. La politique de l'autruche rend bien des services.
Ravi de constater que vous défendez avec nous la cause animale. Cela ne devra point se cantonner à la poésie mais se généraliser.
Merci de votre passage et pardon pour mon retard à vous répondre mais je n'étais point chez moi et je passais "en coup de vent".

Merci à vous et à vos amis à quatre pattes, à ailes, à nageoires, à poils, à écailles et à plumes.
Gros bisous à tous ce petit monde.