Bouquet final

Des vers toujours superbes Alain ! Métaphores et comparaison merveilleuse du dernier vers qui révèle un des mystères à peine aperçus de la nature. Nous sommes encore très loin d'avoir tout vu et surtout tous compris des secrets qui nous entourent !
Une pensée vient de me venir sur tes magnifiques poèmes ... quand viennent tes inspirations sur le temps, ton chemin de vie, ton passé et l'avenir, quand tu viens de trouver et d'écrire ce vers unique et apaisant, tu dois te demander si ce n'est pas l'apothéose de ta pensée, que tu ne pourras plus trouver mieux !!! C'est un accomplissement de son esprit !
Et puis, tout se redessine, les mots, les vers ont encore leur destinée, et leur apport ne cessent de titiller l'auteur pour un ressenti encore plus fort et des vers encore plus sublimes !
Je ne sais pas si je me suis bien fait comprendre, c'est difficile de parler d'esprit, de chose impalpable, de réflexions sur les pensées de l'âme, sur l'intimité de la conscience !
Tes poèmes cher Alain, touchent cette intimité que l'on possède en nous, et qui donne son assentiment au bonheur, aboutissant à un plaisir indescriptible, on peut dire du bien-être, sorte de satisfaction de l'esprit !
Rares sont ceux qui ont ce talent ! Tu es un séducteur de l'écriture !
Merci et heureuse de te connaitre pour la communion de nos pensées.

Flamme a écrit:

Des vers toujours superbes Alain ! Métaphores et comparaison merveilleuse du dernier vers qui révèle un des mystères à peine aperçus de la nature. Nous sommes encore très loin d'avoir tout vu et surtout tous compris des secrets qui nous entourent !
Une pensée vient de me venir sur tes magnifiques poèmes ... quand viennent tes inspirations sur le temps, ton chemin de vie, ton passé et l'avenir, quand tu viens de trouver et d'écrire ce vers unique et apaisant, tu dois te demander si ce n'est pas l'apothéose de ta pensée, que tu ne pourras plus trouver mieux !!! C'est un accomplissement de son esprit !
Et puis, tout se redessine, les mots, les vers ont encore leur destinée, et leur apport ne cessent de titiller l'auteur pour un ressenti encore plus fort et des vers encore plus sublimes !
Je ne sais pas si je me suis bien fait comprendre, c'est difficile de parler d'esprit, de chose impalpable, de réflexions sur les pensées de l'âme, sur l'intimité de la conscience !
Tes poèmes cher Alain, touchent cette intimité que l'on possède en nous, et qui donne son assentiment au bonheur, aboutissant à un plaisir indescriptible, on peut dire du bien-être, sorte de satisfaction de l'esprit !
Rares sont ceux qui ont ce talent ! Tu es un séducteur de l'écriture !
Merci et heureuse de te connaitre pour la communion de nos pensées.

Bernadette, bien que je te trouve beaucoup trop élogieuse à mon égard -je n'ai pas le sentiment d'en mériter autant !- ton appréciation me fait toujours plaisir.
Pour répondre à une de tes remarques, je réécris mes sonnets de nombreuses fois, en essayant de trouver mieux. Celui-ci date de 2005, et j'ai dû le retoucher au moins dix fois !!

Bernadette, je viens de retrouver une autre écriture du même sonnet !
Je te la poste ci-dessous et tu pourras voir comment je fonctionne ! Tu me diras lequel tu préfères ?

Mes impressions personnelles !

"Mon âme s'est enfuie aux frontières du Temps" du "bouquet final" me plait mieux que "Mon coeur s'est échoué sur les bords des antans" de "Dernière lueur" !

"Pour décorer d'amour les hivers, les printemps." montre l'espoir d'un mieux en mettant de l'amour dans ta vie !
"Pour pleurer mes amours, mes hivers, mes printemps." donne une ambiance de défaite.
"Pour peindre tout ce gris d’une teinte sereine" plus optimiste que :
"Froissée par les années comme une tiretaine"
Donc préférence pour le 'bouquet final'

Par contre "Comme sur le hublot où tape le phalène" a ma préférence sur :
Comme un gamin borné qui retombe en fredaine,
De même préférence "Dont le battant têtu égrène les instants."
Donc préférence de "Dernière lueur"

Pour le dernier tercet, il faut avouer qu'ils sont beaux tous les deux !
Difficile de choisir !

Je vois que l'on peut remettre cent fois sur le métier son ouvrage !!!
Voici mes préférences, et je comprends la difficulté de ton travail !

Flamme a écrit:

Mes impressions personnelles !

"Mon âme s'est enfuie aux frontières du Temps" du "bouquet final" me plait mieux que "Mon coeur s'est échoué sur les bords des antans" de "Dernière lueur" !

"Pour décorer d'amour les hivers, les printemps." montre l'espoir d'un mieux en mettant de l'amour dans ta vie !
"Pour pleurer mes amours, mes hivers, mes printemps." donne une ambiance de défaite.
"Pour peindre tout ce gris d’une teinte sereine" plus optimiste que :
"Froissée par les années comme une tiretaine"
Donc préférence  pour le 'bouquet final'

Par contre "Comme sur le hublot où tape le phalène" a ma préférence sur :
Comme un gamin borné qui retombe en fredaine,
De même préférence  "Dont le battant têtu égrène les instants."
Donc préférence de "Dernière lueur"

Pour le  dernier tercet, il faut avouer qu'ils sont beaux tous les deux !
Difficile de choisir !

Je vois que l'on peut remettre cent fois sur le métier son ouvrage !!!
Voici mes préférences, et je comprends la difficulté de ton travail !  
 

Je suis assez d'accord et c'est pourquoi je l'ai réécris !!
Merci de t'être donné la peine !

Je préfère moi aussi la 1ère version que tu as postée. Quant à se montrer satisfait, même en remettant de nombreuses fois le métier sur l'ouvrage, je crains que la chose soit difficile. Ce qui n'empêche pas le lecteur de passage de savourer les mots.

fripou a écrit:

Je préfère moi aussi la 1ère version que tu as postée. Quant à se montrer satisfait, même en remettant de nombreuses fois le métier sur l'ouvrage, je crains que la chose soit difficile. Ce qui n'empêche pas le lecteur de passage de savourer les mots.

Merci beaucoup, Fripou !