Merci les Filles pour vos commentaires pertinents : face à la violence de mon père, je suis toujours restée debout, à le braver et cela ne lui plaisait pas du tout. Mais j'ai tenu tête jusqu'au jour où j'ai quitté ce foyer que j'estimais, peut-être à tort, sans tendresse. juste le regret de devoir quitter ma mère, encore plus malheureuse et maltraitée que nous. J'ai toujours eu la force et l'impertinence de dire non à la violence quelle qu'elle soit.
Bisous à vous et excellente journée
Lucienne