Il ne sait pas s'arrêter d'écrire lorsqu'il commence....BAH !

     

Mettez la vidéo juste avant la lecture....Le texte passera mieux...MERCI.





VOUS AVEZ DIT : HUMAIN ?
Hassan vivait tout seul. Sans femme, ni ami !
Marginal, et nomade. Il choisissait SA vie !
Il écoutait les cris des singes, et des aras...
Les arbres étaient si beaux. Il n'existait que...Là!
Juste à côté de lui, à travers les fougères,
Un filet d'eau coulait ! Une eau pure, "sincère".
Il se désaltéra, remplit ses trois bidons,
Arrima sa monture, regarda...tout au fond...
Au fond de la clairière...le désert et le sable.
Il adorait partir, son esprit clair, et stable.
Affronter le désert était toujours étrange.
Chaque fois, LE défi se refaisait Challenge !

Même le meilleur guide, le meilleur Sahraoui,
Peut se perdre une fois, même étant sur de lui!

IL marchait dans ce sable, les pieds gonflés de sang.
Il marchait, par instinct, il marchait...depuis quand ?
Son chameau était mort, et ses outres étaient vides.
La langue desséchée, gonflée, dure, acide,
Il avançait encore sans savoir tous ses pas.
Il avançait, peut-être, au bout de son trépas !
Le soleil, qui"savait", lui brulait la cervelle...
Lui ne se pensait plus ! ne tenant que par ELLE...
ELLE, l'envie de vivre, de tenir, à tout prix !
Malgré l'immense doute de "terminer"...ici.
Une jambe...et puis l'autre...un effort surhumain...
Et puis...il s'écroula...ne croyant plus à rien  !

Un homme, aux yeux si bleus que le ciel s'y repose,
Monté sur un chameau, observait une pause.
C'était un juif...errant, qui cherchait une "PAIX
Que, dans Jérusalem, tout le monde chassait.
Il scrutait le désert...et sursauta, soudain.
Là-bas, au creux des dunes...peut-être ...un homme...un chien ?
Il poussa sa monture, parvint jusqu'à la forme,
Et retourna le corps. C'était bien un jeune homme,
Le visage brulé par le soleil, les vents,
Et qui agonisait, presque au bout de son temps.

Ariel lui souleva la tête, doucement ;
Glissa un filet d'eau sur les lèvres d'Hassan.
Celui-ci mit du temps à réagir. Alors....
Ariel prit le parti de conjurer le sort...
De sauver à tout prix, ce pauvre moribond.
Il lui massa le cœur, souffla dans ses poumons,
Versa encore l'eau...Ressuscita LA VIE !
Et...deux yeux Noirs s'ouvrirent sur deux yeux bleus, AMIS.

Cette histoire est quelconque ; moi,j'ai fait UN SYMBOLE.
Je suis traumatisé par...Cette guerre folle.
Jésus ! Allah, Golan, Israël,Palestine...
Et des milliers de vies que la haine assassine.

Tant que te restera cette flamme d'amour à offrir au monde, on ne se lassera pas de te suivre dans tes rêves de paix.

Très belle histoire pleine d'émotion que nous conte Momo, Oui nous sommes tous frères et il serait temps qu'on arrête ces guerres.

Merci Momo.

Et...deux yeux Noirs s'ouvrirent sur deux yeux bleus, AMIS.

Cette phrase montre l'égalité des hommes, devant la vie, la mort, nous sommes tous semblables ! C'est cela s'aimer sur cette terre, comme on devrait tous le faire !!!
Toujours les leçons de la vie dans tes poèmes Momo !
Bisous ami.

Une belle histoire qui se voudrait réalisable entre ces peuples qui se haïssent depuis des millénaires....
Je souhaite que cette goutte d'eau face réfléchir les yeux noirs et les yeux bleus....
***DAN***

une superbe leçon de vie, d'amour et de sagesse MOMO. Si seulement ce genre d'acte venant du cœur pouvait se multiplier afin de faire pencher la balance du bon côté
merci pour ce petit message d'espoir qui coule dans tes vers
Amitiés

Une belle histoire réalisable lorsque les yeux bleus et les yeux noirs comprendront que c'est le même sang qui leur donne la vue....BRAVO..
***DAN***

Merci à toutes et tous d avoir bien voulu lire mes utopiques elucubrations....puisque rien ne changera...BISES A TOUS....