Kiki, mon bel oiseau apprivoisé
Je t’ai pris dans mes mains
Tous les jours pour te caresser
Te donner des bisous et des câlins.
Tu étais toujours à attendre
Au nid, que je vienne te chercher,
Et tu as su très vite comprendre
De venir sur moi pour grimper.
Combien t’ai-je fait de bisous,
Je ne sais pas … je ne sais plus,
Je pense qu’il y en eût beaucoup,
Sans doute t’en souviens-tu.
Très vite tu as compris
Que sur ma main il te fallait rester
Pour espérer un sortie
Et goûter aux joies de voler
Maintenant tu sors naturellement,
Tu profites de cette liberté
Pour découvrir, dans l’appartement
Toutes les pièces avec rapidité.
Tu assistes toujours à nos repas,
A table tu es notre invité,
Tous les jours tu n’imagines pas
Le bonheur que tu nous as donné.
Tu bouges, tu voles, tu vas partout,
Comme l’éclair dans un bruit d’ailes
Dans chaque pièce, tu découvres tout,
Et avec toi, nos journées sont belles.
Quel plaisir et quelle chance
Nous avons tous les jours avec toi,
Plus rien pour moi n’a d’importance
Car mon plus beau cadeau c’est toi
Claude 2008