La blague de la semaine

Flamme a écrit:: Chantage affreux, elle doit être vraiment belle sa femme !!!

Comme disait Madame De GENLIS : "“On ne jouit bien que de ce qu’on partage." Ce qui confirme bien qu'un cocu c'est un entier qui partage sa moitié avec un tiers.

DE ET TRÈS HEUREUX DE VOUS AVOIR EU AU TÉLÉPHONE CE MATIN.

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

’entraîneur de l'OM est à la recherche d ' un nouvel attaquant et est informé de l'existence d'un extraordinaire jeune Irakien.

Il prend donc l'avion pour Bagdad et assiste à un match du jeune prodige.

Il est subjugué par ce qu'il voit et s'arrange pour que la future superstar déménage à Marseille.

Deux mois plus tard, en championnat le PSG mène 2 - 0 contre l'OM et il ne reste plus que dix minutes à jouer. Il décide alors de faire entrer sa nouvelle recrue.

Le jeune marque 3 buts et donne la victoire à l'OM Les supporters pleurent de joie.

Les joueurs et l'entraineur se jettent sur lui pour l'embrasser.

Lorsqu'il rentre aux vestiaires, il appelle sa mère pour partager sa joie.

- « Salut M'man, tu ne devineras jamais quoi ! en moins de dix minutes, j'ai marqué 3 buts et on a gagné. Tout le monde est fou, même la Presse est dingue de moi ! »

- « Comme je suis contente pour toi, mon fils. »

- « Et toi, maman, comment ça va ? »

- « Mal mon fils ! Ton père vient juste de se faire tirer dessus en pleine rue : il est aux urgences. Ta sœur a été violée à l'école, et ton jeune frère a été arrêté avec un copain : il conduisait une voiture volée... »

Le jeune joueur se sent subitement très embarrassé.

- « Je ne sais pas quoi te dire M'man, j'suis désolé. »

- « Désolé, désolé ! ! C'est toi qui as voulu qu'on quitte Bagdad pour venir habiter à Marseille , non ! »

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Elle est bonne André !!! C'est plus tranquille à Bagdad je constate !!! Ah ces Marseillais !!! chienquirit

Nous aussi, un bon moment passé à nous 3, avec pas mal d'idées communes !

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Flamme a écrit:: Elle est bonne André !!! C'est plus tranquille à Bagdad je constate !!! Ah ces Marseillais !!!

Nous aussi, un bon moment passé à nous 3, avec pas mal d'idées communes !

FLAMME !

Très bonne journée à vous deux !

CARPE DIEM

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Quelle merde cet aspirateur !

Une petite vieille entendit la sonnerie de sa porte et alla ouvrir. Elle fut confrontée à un jeune homme, bien habillé, représentant en aspirateur.
– Bonjour, dit le jeune homme. Si je peux prendre quelques minutes de votre temps, j’aimerai vous faire une démonstration de notre tout dernier modèle d’aspirateur. Il ne laisse aucune trace…
– Allez-vous en, dit la veille dame, je n’ai pas d’argent !
Et elle commença à fermer la porte. Aussi vite que l’éclair, le jeune homme coinça son pied dans la porte et l’ouvrit.
– Ne soyez pas si précipitée, dit-il, pas jusqu’à ce que vous ayez vu ma démonstration !
Et là, il déposa un gros sceau de merde de cheval sur son paillasson.
– Si cet aspirateur n’enlève pas toutes les traces de cette merde de cheval de votre tapis, Madame, je m’engage à manger personnellement le reste.
– Bien dit-elle, j’espère que vous avez un bon appétit, car l’électricité a été coupée ce matin !

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Pour son anniversaire, un homme offre un téléphone mobile à sa femme blonde. Pendant plusieurs heures, il tente vainement d’en expliquer le fonctionnement à son épouse. Découragé, il demande finalement à sa femme de mettre le téléphone dans son sac à main et d’aller se promener.
– Dès que ça sonne, tu appuies sur le petit bouton vert.
La blonde va donc faire des courses et, au moment où elle arrive à l’épicerie, le téléphone se met à sonner. Immédiatement, elle presse le bouton vert. Le mari s’exclame alors à l’autre bout de la ligne :
– Félicitations chérie, tu as réussi à répondre. Tu vois, ce n’est pas si compliqué.
Et la blonde, fière d’elle-même :
– Oui c’est facile. Mais comment tu as fait pour savoir que j’étais à l’épicerie ?
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Deux petites vieilles se croisent dans la rue
– Comment vas-tu Marguerite ?
– Oh ! Je n’ai pas le moral… Je viens de perdre mon mari !
– Ah bon ! Qu’est-ce qui s’est passé ?
– Je l’ai envoyé dans le jardin chercher des carottes et des poireaux pour faire la soupe. Il a été pris d’un malaise. J’ai appelé les secours, quand ils sont arrivés, il était déjà mort. Une crise cardiaque…
– Qu’est-ce que tu as fait alors ?
– Des pâtes
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Dans un magasin de chaussures, un client dit au vendeur :
– Je voudrais le modèle qui est là dans la vitrine. Pointure 40…
Le vendeur regarde ses pieds et lui dit :
– Monsieur, je crois que vous faites erreur. J’ai l’habitude, et je puis vous dire que vous faites du 42. C’est bien pour vous ?
– Oui, mais donnez-moi du 40 !
– Je vous assure qu’il vous faut du 42…
– Écoutez, jeune homme, n’insistez pas. J’ai un patron qui me traite comme un chien, un fils drogué, une fille enceinte sans que l’on sache de qui. Ma femme me trompe avec mon meilleur ami, ma mère est à l’hôpital, et mon banquier me harcèle. Mon seul bonheur dans la vie c’est, quand je rentre chez moi le soir, d’ôter mes chaussures...
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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

J'aime bien la 1ère et l'incompréhension de la femme qui se demande comment son mari à fait pour savoir où elle était en lui téléphonant !!! C'est incroyable cette réflexion ! chienquirit

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Flamme a écrit:: J'aime bien la 1ère et l'incompréhension de la femme qui se demande comment son mari à fait pour savoir où elle était en lui téléphonant !!! C'est incroyable cette réflexion !

Bonsoir FLAMME,

Dans le même genre en voici une qui devrait aussi te plaire :

Un homme vient d’acheter une voiture neuve, mais faute de garage il est obligé de la laisser la nuit dans la rue. Et comme il sait que les voleurs d’autoradios n’hésitent pas à briser les vitres et à fracturer les portières, il met sur son pare-brise l’écriteau suivant :
« IL N’Y A PAS DE RADIO DANS CETTE VOITURE ».
Le lendemain matin, plus de voiture.
A la place où elle se trouvait, il ne reste plus que l’écriteau sur lequel une main a rajouté :
« NE VOUS INQUIETEZ PAS, ON EN FERA INSTALLER UNE ».

DE NOUS TROIS !

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Une coquette d’un âge avancé vient témoigner à la barre.
– Quel est votre âge, madame ?
– Trente-sept ans.
– Parfait, maintenant dites je le jure.
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Prétextant qu’on lui a servi du pain rassis, une dame vient protester chez le boulanger.
– Vous n’allez pas m’apprendre mon métier, madame, répond le boulanger. J’ai fait du pain avant que vous ne soyez née.
– Mais je n’en doute pas, dit la dame. Ce que je vous reproche, c’est de le vendre seulement maintenant.
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ne femme demande à son mari de nettoyer le lustre du salon. L’époux s’exécute gentiment, il va chercher un chiffon. Au moment où il s’apprête à monter sur la table afin de pouvoir l’atteindre, sa femme lui dit :
– Mets un journal sous tes pieds !
– Mais non, ce n’est pas nécessaire, je suis assez grand !
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Un soldat en poste en Irak a récemment reçu une lettre de sa petite-amie, aux États- Unis.
Elle disait ceci :
« Cher Ricky, Je ne peux pas poursuivre notre relation. La distance entre nous est simplement trop grande. Je dois admettre que je t’ai trompé deux fois depuis que tu es parti et cela n’est juste pour aucun de nous. Je suis désolé. Merci de me renvoyer la photo de moi que je t’avais adressée. Bises. Becky. »
Le soldat, à qui ça avait fait vraiment mal, a demandé à ses collègues de lui donner autant de photos que possible de leurs petites-amies, sœurs, ex, tantes, cousines, etc…
À la photo de Becky, il ajouta toutes les photos de jolies filles fournies par ses copains.
Il y avait 57 photos dans cette enveloppe… avec ce petit mot :
« Chère Becky, je suis désolé, mais je ne me souviens pas de qui tu es. Merci de prendre ta photo dans la pile, et de me renvoyer les autres. Bien à toi. Ricky. »
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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

C’est un enfant qui a été frappé par la voisine.
La mère, furieuse, va lui demander des explications:

- Pourquoi avez-vous frappé mon fils ?
- Parce qu’il est mal élevé: il m’a traité de grosse.
- Et vous croyez qu’en le frappant vous allez maigrir ?
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CONFESSION :

Un condamné à mort attend l’heure de l’exécution lorsqu’ arrive le prêtre:
- Mon fils, j’apporte la parole de Dieu pour toi.
- Vous perdez votre temps, mon père. Dans un petit moment, je vais pouvoir lui parler personnellement. Avez-vous un message pour lui ?
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ENTERREMENT :

Un homme vient de mourir. Le curé, lors de la cérémonie funèbre, s’étend en éloges:
- C’était un bon mari, un excellent chrétien, un père exemplaire…
La veuve se tourne vers un de ses enfants et lui dit à l’oreille:
- Va jusqu’au cercueil et regarde si c’est bien ton père qui est dedans.
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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Deux pickpockets sortent d’un bistrot :
– T’as vu la belle montre qu’avait le barman !
– Non… Fais voir !
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Le maître de maison sermonne la petite bonne :
– Il faut frapper avant d’entrer… on ne sait jamais, je pourrais être nu !
– Que Monsieur se rassure, je regarde toujours par le trou de la serrure avant d’entrer !
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Une jeune femme se présente au guichet de sa banque :
– J’ai un compte joint avec mon mari. Je voudrais tirer 200 euros, mais seulement sur sa moitié à lui… Est-ce possible ?
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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Je viens de les mettre sur ma page de FB, les gens sont contents et le disent ! Merci et bisounours

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Flamme a écrit:: Je viens de les mettre sur ma page de FB, les gens sont contents et le disent ! Merci et

En voici d'autres, FLAMME, pour alimenter ta page. Je trouve la dernière particulièrement savoureuse. Qu'en dis-tu ?

EXCELLENTE JOURNÉE

CARPE DIEM

DE GROS

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

À l’Opéra, on répète une œuvre difficile. Mécontent du jeu du ténor, le metteur en scène lui lance :
– Un peu plus de passion, monsieur. Vous n’avez donc jamais aimé, dans votre vie ?
– Si.
– Alors ?
– Si, mais je ne chantais pas en même temps.
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À l’hôpital, l’infirmière admoneste un malade :
– Tout à l’heure, lorsque le médecin-chef vous fera sa visite quotidienne, essayez au moins pour une fois d’être gai et enthousiaste. Il se fait déjà assez de soucis pour votre cas qui est désespéré.
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Dans une administration, le directeur dit à son chef de service :
– Les ordres sont formels : par mesure d’économie, vous devez licencier dix employés.
– Mais ils ne sont que six !
– En ce cas, dépêchez-vous d’en engager quatre de plus.
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C’est une jeune fille qui rentre dans une église pour se confesser, elle va voir le curé et commence à se confesser :
– Mon Père, j’ai commis le pêché de chair (Au moment de parler, elle prend une voix de plus en plus faible et timide)
Alors le curé qui a de plus en plus de mal à la comprendre:
– Parle haut, ma fille ! Parle haut !
– Non, non mon Père, par le bas !
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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Une femme est au lit avec son amant, chez elle, au huitième étage. Soudain, elle entend la clé qui tourne dans la serrure. Elle dit au gars :

- C'est mon mari. Pas de panique, reste debout sans bouger, je gère !

Le mari entre dans la chambre :

- Coucou, ma chérie. La réunion s'est terminée beaucoup plus vite que prévu. Mais, c'est quoi ce truc ?

- C'est mon robot-esclave. Je viens de l'acheter, puisque tu rentres toujours très tard. C'est quand même mieux que de me taper le facteur ou le voisin, non ?

- Oui, je veux bien ! Mais ce soir, je suis en forme, alors prépare-toi !
- Oh, non ! Je m'étais couchée de bonne heure parce que j'ai une grosse migraine !

- Bon, d'accord ! Alors, va dans la cuisine me préparer une omelette au jambon.

La femme s'exécute, et le mari réfléchit. Il se dit que ce qui est bon pour son épouse, peut être bon pour lui aussi.
Il baisse son pantalon et se place derrière le pseudo-robot.

Inquiet, celui-ci s'écrie :

- Erreur-Système. Emplacement réservé USB !

- Saleté de robot !

Fou de rage, le gars soulève le robot et ouvre la fenêtre pour le balancer. Terrorisé, l'amant hurle :

- Windows 10 réinitialisé. Veuillez réessayer !
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Une maman demande à sa fille de 8 ans: « Ma chérie, pourrais tu aller me chercher du pain à la boulangerie ? »
La petite fille prend l’argent que sa mère lui donne pour le pain, et s’en va. Lorsqu’elle revient, elle tient dans une main la baguette, dans l’autre main un billet de 100 euros.
Perplexe, la maman préfère ne faire comme si de rien était, mais le lendemain, elle redemande à sa fille d’aller chercher le pain à la boulangerie, et guette impatiemment le retour de sa fille. Lorsque celle-ci rentre enfin, elle tient à nouveau la baguette dans une main et un billet, cette fois de 200 euros, dans l’autre. Cette fois, la mère ne résiste plus et lui demande :
– Ma chérie ! Où donc as tu trouvé tout cet argent ?
– Bah tu vois c’est un groupe de garçons, ils m’ont dit que si je grimpais sur un poteau et bien ils me donneraient de l’argent.
– Ils t’ont bien eue ma chérie ! Ils voulaient juste voir ta culotte sous ta robe ! Dit la maman en souriant.
– Ah bah alors je les ai bien eus, dit la petite fille en riant, parce que j’en avait pas mis !
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C’est un flamand qui monte dans un train vers la France. Dans le compartiment se trouvent déjà deux français costumés et cravatés qui tapent sur leur ordinateur.
Notre brave flamand s’installe face à ces deux français et commence à manger son sandwich.
Au bout de quelques minutes,il demande à l’un des deux hommes avec un fort accent flamand : « Puiche-je savoir où vous z’allez ? »
– Et bien moi, je vais à PARISS, répond, d’un air moqueur, le français.
Le Flamand a mal compris et demande : « Pariss ?? »
Et le cravaté rétorque : « Oui, PARISS avec deux S !!! »
Le Flamand se demande pourquoi Paris avec deux S, mais n’en rajoute pas et continue de déguster son sandwich.
« Et bien moi », répond le deuxième français également d’un air moqueur, « je vais à Bordeauxx avec deux X ! »
Le flamand ne répond pas et s’interroge sur ces deux hommes qui se moquent de lui.
Tout à coup l’un des deux français cravatés se tourne vers notre flamand et lui demande : « Et toi, tu vas où ? »
– « Et bien moi, j’vais à Mâcon, avec deux cons »
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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

En effet pas si con que ça le gars de Mâcon !!!!
bis

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La blague de la semaine - Page 5 110108034927815720

Messages : 516 Date d'inscription : 27/06/2018 Localisation : Istanbul

moi j'aime bien l'histoire du robot, mais je l'aurais complètement démonté pour savoir ce qu'il y a dedans
comme disait Guitry "La nature complexe du mariage nécessite parfois de s'y mettre à trois."

chienquirit

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La blague de la semaine - Page 5 32437210

«Quand on dépasse les bornes, il n'y a plus de limites». Alfred Jarry

Erdrek Nathan-Taner a écrit:: moi j'aime bien l'histoire du robot, mais je l'aurais complètement démonté pour savoir ce qu'il y a dedans
comme disait Guitry "La nature complexe du mariage nécessite parfois de s'y mettre à trois."

Nul homme n'est coulé d'une seule pièce, et même un robot connaît la panne. À l'âge de la machine, l'homme fonctionne souvent comme tel. Celui-là, apparemment, en connaissait les codes et les rouages.

Très bonne journée à toi, ERDREK

CARPE DIEM

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Flamme a écrit:: En effet pas si con que ça le gars de Mâcon !!!!

Il doit appartenir à cette catégorie d'individus pour lesquels l'intelligence est mesurable et la connerie totalement suggestive.

Bien belle journée à vous deux.

DE

CARPE DIEM

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Le juif et la messe :
Deux juif assistent à une messe. Arrive le moment où un enfant tend le panier pour la quête. Le premier met une pièce de 1 centime. Le deuxième s’avance et dit :
– C’est pour nous deux.
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Le juif et le déjeuner :
Deux juif se rencontrent :
– Vous avez déjeuné ?
– Oui, à l’instant !
– Dommage, sinon je vous aurais offert l’apéritif !
– Et vous, avez-vous déjeuné ?
– Non, pas encore !
– Dommage, sinon je vous aurais offert un digestif !
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Le juif et la rupture :
Deux potes juifs discutent :
– Tu t’es marié finalement. Mais tu ne voulais pas rompre ??
– Si, mais depuis que je lui ai offert la bague de fiançailles, elle a grossi des doigts, et impossible de lui enlever…
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Le juif et les soirées :
Deux juifs discutent :
– Tu n’as dépensé que 5 euros au bar pour toute la soirée avec ton pote ?
– Ben oui, c’est tout ce qu’il avait sur lui !
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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Dans une école du Médoc, l’institutrice apprend aux élèves les mesures de capacité.
Elle en arrive aux mesures des liquides et dit :
– La plus petite, c’est le millilitre. Puis viennent le centilitre, le décilitre, et la mesure de base qui est…
– Le litre ! crient les enfants.
– Très bien. Qu’y a-t-il au-dessus du litre ?
Et toute la classe en chœur répond :
– Le bouchon !
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Un représentant en aspirateur débarque chez une vieille dame qui habite une maison isolée au bout du village. Sans lui laisser placer un mot il lui dit :
– Madame, je vais vous faire une démonstration de la merveille des merveilles, le nouvel aspirateur « Cyclone », celui qui aspire tout en quelques secondes ! Où est votre poubelle ? Dans la cuisine ? Je m’en doutais ! Permettez-moi de la prendre…
Il l’emporte dans le salon et vide tout le contenu par terre.
– Ne vous inquiétez pas ! Car à présent, avec l’aspirateur « Cyclone », je vais faire disparaître totalement, jusqu’à la dernière parcelle, toutes ces ordures ! Je m’engage, chère madame, à manger devant vous tout ce qui resterait au sol !
– Attendez, monsieur, dit la vieille dame. Je vais vous chercher du sel et du poivre, parce que je n’ai pas l’électricité.
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Le directeur d’un hôpital rattrape un patient pied nu qui sort en courant de son établissement :
– Mais enfin monsieur pourquoi vous êtes-vous enfui du bloc opératoire ?
– C’est parce que l’infirmière a dit : « Allons soyez courageux ce n’est qu’une appendicite, c’est simple comme opération ! »
– Et alors ! Elle a dit ça pour vous rassurer !
– Ce n’était pas à moi qu’elle le disait mais au chirurgien !
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Hier, je suis allé chez le caviste à vélo et j’ai acheté une bouteille de whisky.
Spontanément, j’ai mis la bouteille dans le panier porte-bagage du vélo. Alors que je m’apprêtais à partir, je me suis rendu compte que si jamais je tombais, la bouteille se casserait. Alors, j’ai bu toute la bouteille de whisky d’une traite et je suis rentré.
Vous n’allez pas me croire mais cette magnifique idée de boire tout mon whisky s’est avérée providentielle car je suis tombé sept fois sur le chemin de retour ! Imaginez un seul instant ce qui serait arrivé à la bouteille si je n’avais pas été aussi bien inspiré.
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Dans les beaux quartiers de la capitale, un clochard s’approche d’une femme distinguée qui est en train de faire du lèche-vitrines.
Le pauvre homme lui dit d’un air implorant:
– Madame, je n’ai pas mangé depuis une semaine !
La femme le regarde et lui dit :
– Mon Dieu ! Je vous félicite… Si seulement j’avais votre volonté.
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Un homme style élégant sort d’un supermarché poussant un caddie rempli à ras bord de marchandises et gourmandises en tout genre.
En s’approchant du coffre de son magnifique 4X4, il aperçoit un homme qui ramasse de rachitiques brins d’herbes poussés à travers le béton du parking :
Le riche : Excusez moi Monsieur, mais que faîtes-vous ?
Le pauvre : Je ramasse de l’herbe, c’est pour la manger, j’en ramène aussi à la maison, on n’a plus rien !
Le riche : Ah bon !!!! si je peux me permettre, tenez voici ma carte avec mon adresse, venez plutôt manger à la maison !
Le pauvre : C’est gentil, Monsieur, mais j’ai une femme et huit enfants
Le riche : Mais c’est évident, venez avec votre famille !
Le pauvre : Oh alors, ça, c’est gentil ! mais c’est que les grands sont déjà mariés
Le riche : Allons, mon ami, je vous en prie, venez tous !
Le pauvre : Vous êtes sûr ? parce qu’y a aussi mes sœurs et mes beaux frères, on est nombreux ……
Le riche : Je vous le dis, j’insiste, ça me fait plaisir, venez tous chez moi, l’herbe est haute comme ça, si vous êtes nombreux, en trois heures c’est fait !!!!
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Dans un bus rempli de petits vieux en pèlerinage à Ste Anne de Beaupré, une mamie tapote sur l’épaule du chauffeur, et lui tend une bonne poignée de cacahuètes.
– Merci, j’avais un petit creux.
– Ça me fait plaisir.
Cinq minutes plus tard, elle lui en offre encore. Et encore. Au bout d’une dizaine de poignées, le chauffeur lui demande…
– Mais vos amis n’en veulent pas ?
– Oui, mais voyez-vous, avec nos dents, on ne peut pas les mâcher. Y’a que le chocolat autour, qu’on aime…
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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Tes histoires sont affreuses et choquantes ! Mais il y a bien des vérités hélas ! L'humour noir est terrible.
J'ai ri jaune ! J'aime bien celle-là.
Le directeur d’un hôpital rattrape un patient pied nu qui sort en courant de son établissement :
– Mais enfin monsieur pourquoi vous êtes-vous enfui du bloc opératoire ?
– C’est parce que l’infirmière a dit : « Allons soyez courageux ce n’est qu’une appendicite, c’est simple comme opération ! »
– Et alors ! Elle a dit ça pour vous rassurer !
– Ce n’était pas à moi qu’elle le disait mais au chirurgien !

Il valait mieux endormir le patient rapidement chienquirit

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Flamme a écrit:: Tes histoires sont affreuses et choquantes ! Mais il y a bien des vérités hélas ! L'humour noir est terrible.
J'ai ri jaune ! J'aime bien celle-là.
Le directeur d’un hôpital rattrape un patient pied nu qui sort en courant de son établissement :
– Mais enfin monsieur pourquoi vous êtes-vous enfui du bloc opératoire ?
– C’est parce que l’infirmière a dit : « Allons soyez courageux ce n’est qu’une appendicite, c’est simple comme opération ! »
– Et alors ! Elle a dit ça pour vous rassurer !
– Ce n’était pas à moi qu’elle le disait mais au chirurgien !

Il valait mieux endormir le patient rapidement

Oui, FLAMME, quand la vérité n'ose pas aller toute nue, souvent la robe qui l'habille le mieux, c'est l'humour, même s'il peut paraître dissonant. Il permet de dire une vérité ; c'est la reconnaissance de cette objectivité qui crée le rire, même s'il peut, à première vue, paraître amer et brutal.

TRÈS BONNE FIN DE SOIRÉE À VOUS DEUX ET DE DE NOUS TROIS !

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Un jeune de QUIMPER à la recherche d'un travail, voit cette annonce :

"Gynécologue cherche préparateur…"

L'annonce ne précisant pas la nature du travail proposé, il téléphone et on lui dit :

- Il s'agit de préparer la patiente avant qu'elle n'entre dans le cabinet du gynécologue. Il faut l'aider à retirer ses vêtements, sous-vêtements et lui faire enfiler la blouse d'examen. Ensuite il faut lui faire la toilette, la raser, et lui passer une mousse adoucissante sur le sexe, et masser.

Le salaire mensuel net est de 5 200 Euros. Si vous êtes intéressé, vous devez remplir un dossier, puis aller à CONCARNEAU avec votre dossier.

- À CONCARNEAU ??? Mais j'ai vu cette annonce dans les offres d'emploi pour QUIMPER !

- C'est exact, monsieur, mais la file d'attente commence à CONCARNEAU !

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

André va voir dans le salon "humour festif en image"

L'annonce était alléchante en effet !!! chienquirit

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Flamme a écrit:: André va voir dans le salon "humour festif en image"

L'annonce était alléchante en effet !!!

Aux dernières nouvelles, il paraît qu'il commence à y avoir des gilets jaunes dans la file d'attente.

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Une jeune femme affolée arrive chez le gynécologue.
– Docteur, si vous saviez ce que m’a fait mon fiancé ! Ah, le salaud !
– Que vous a-t-il fait ?
– Il a commencé par m’embrasser les lèvres.
– Comme ça ? dit le gynécologue en l’embrassant.
– Oui docteur. Ensuite, il m’a renversé sur le canapé. Ah, le salaud !
– Comme ça ? dit le gynécologue en faisant la même chose.
– Oui docteur. Ensuite, il a ôté ma culotte. Ah, le salaud !
– Comme ça ? dit le gynécologue en reproduisant le geste.
– Oui docteur. Ensuite, il m’a pénétré !
– Comme ça ? dit le gynécologue en reproduisant le geste.
– Oui docteur. Ah, le salaud !
– Mais pourquoi vous l’insultez ? demande le gynéco.
– Parce qu’il avait la vérole…
– Ah, le salaud !!!
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Après l’avoir examinée, un gynéco dit à sa patiente :
– J’ai remarqué que vous aviez un tatouage à l’intérieur de chaque cuisse : Michalak sur celle de gauche et Dusautoir sur celle de droite.
– En effet, je suis fan de rugby.
– Puis-je leur faire un bisou pour porter chance à l’équipe de France ?
– Oui, bien sûr.
Le médecin s’exécute puis se relève. La femme lui dit :
– Et à Chabal, on ne lui fait pas de petit bisou ?
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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Jean-Paul achète sa nouvelle voiture : une DUSTER flambant neuve..noire avec des sièges et une roue de secours

Le vendeur lui indique qu'elle est équipée d'un autoradio à commande vocale nouvelle génération.... et lui fait une démonstration.

Choisissez un chanteur demande-t-il au client.

"Hallyday" ! dit l'acheteur...

L'autoradio lui demande : "Johnny ou David ?"

Jean-Paul interloqué.. Répond : "Johnny." et l'autoradio diffuse une chanson du Jojo national>

Jean-Paul demande au vendeur s'il peut faire un nouveau test.

Le vendeur : " OK, vous allez voir, la radio répond à tous les coups !"

Jean-Paul lance : "Iglésias"

L'autoradio demande : "Julio ou Enrique ?

Jean-Paul en reste baba et dit : "Julio" et la radio passe "Non, je n'ai pas changé"

> Enchanté, Jean-Paul prend la voiture, sort du garage et se fait couper la route par un abruti qui manque de l'accrocher.

Jean-Paul crie au chauffard : "Enfoiré ,Connard,Bandit, Voleur, Escroc, Fraudeur !!!"

Et la radio lui demande : "Hamon, Macron, Mélenchon, Sarko, Woerth, Cahuzac, Dassault, Hidalgo, Cambadélis, Christine Lagarde, Kouchner, Estrosi, Tapie ....

Oh putain, dit Jean-Paul , il y a même la mise à jour !

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

LE CORAN VU PAR UNE FEMME CORSE....

Après avoir passé leur voyage de noces au bled, Mohamed et sa femme Pauline, une jeune Corse sont de retour à Calvi ...

Mohamed arrive en toute hâte dans la cuisine, marche vers sa femme et, tout en lui pointant le doigt à la figure, lui dit :

- "À partir de maintenant, je veux que tu saches que "JE" suis le maître de la maison et ma parole sera la loi ! Je veux que tu me prépares un repas spécial et quand j'aurai terminé de manger mon repas, je m'attends à un somptueux dessert.
Ensuite, après le souper, tu vas me faire couler un bon bain afin que je puisse me relaxer, et quand j'en aurai terminé avec mon bain, devine un peu qui va me peigner et m'habiller" ?

Et sa femme Corse de répondre : "Les pompes funèbres " !!!

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Elle est super !!! Peut-être pas le mariage !!! Mais bon, il vaut mieux essayer le bonhomme avant ! neunoeil

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La blague de la semaine - Page 5 110108034927815720

» La semaine (Humour)
» Une semaine à peine
» Semaine bien chargée
» Le jour, la nuit, le week-end, la semaine... (Article de presse)
» La fuite... (Blague en poésie)