LE COIN POÉTIQUE DE FRIPOU
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 Un conte de Noël

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Sansef Alafin

Sansef Alafin


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Age : 82
Localisation : Cévennes

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MessageSujet: Un conte de Noël   Un conte de Noël EmptyLun 17 Déc - 6:45

Avant-propos

Il a existé, autrefois, dans les antiques Cévennes de notre enfance et de nos souvenirs, des récits de Noël comme partout ailleurs.
Mais aujourd’hui, les Noëls modernes de la mondialisation ont changé les rêves en une réalité dont le merveilleux est devenu uniquement commercial et médiatique. Il n’y a plus beaucoup de neige non plus pour Noël, ou si peu que cela ne vaut pas la peine d’en parler. C’est le réchauffement climatique…
Ensuite, il n’y presque plus de petits Jésus, mais un Père Noël, transformé par ailleurs de nos jours en e.PereNoel.monde, dont la base de départ n’est plus dans un Pôle Nord décongelé où il n’y a plus de rennes pour tirer son traîneau, mais dans les temples du e.commerce avec les e.Bay, les e.books, les Amazon, et autres Google Market !
Quant au Père Noël, il ne revêt plus ni magie, ni mystère, car n’importe quel enfant de trois ans peut désormais le voir à la TV, et le faire apparaître à volonté sur sa console de jeu !
Ces dernières années, j’ai beaucoup pensé à une vieille cousine qui vécut chez nous vers mes huit ans et qui remplaça la grand’mère que je n’avais jamais eue. Elle me raconta un nombre incroyable d’histoires, dont elle possédait un répertoire qui me semblait inépuisable. Elle les disait souvent dans un occitan qu’elle émaillait de français de peur que je ne comprenne pas bien. Et elle les assortissait de chansons antédiluviennes comme les goualantes et les complaintes à la mode d’autrefois. C’est ainsi que j’ai entendu chanter la complainte du Pauvre Mandrin :
« Faisant toujours son train
Mendiant son pain. »
Ou encore celle du Roi Renaud qui
« De guerre vint
Tenant ses tripes dans ses mains… »
Ou bien même cette antienne préhistorique du temps des bergères :
« Ti vòs logar joina pastoreleta
Ti vòs logar per mos motons gardar ! »

Veux-tu te louer jeune bergère
Pour garder mes moutons ?
Ce qui me faisait, de stupeur,  ouvrir des yeux grands comme des soucoupes!
Mais elle me racontait aussi de nombreuses histoires de Noël ou le Petit Jésus côtoyait sans problème las fadas cévenoles, la roméca, et autres farfadets qui peuplaient les masades de son enfance.
Vous allez donc retrouver ma vieille et chère Junie aux détours de presque chacune de ces pages…
Parce que, voyez-vous, j’ai éprouvé le besoin, parmi d’autres retours sur moi, de ressusciter un peu les vieux contes de Noël à l’usage surtout des grands enfants. Car -je voudrais me tromper- mais je crains bien que les rêves de nos descendants ne soient plus jamais semblables aux nôtres !
Le tout est accommodé à la sauce cévenole, mais comme Noël est universel, cela pourrait aussi bien aller ailleurs.
Plus je vieillis plus je trouve que la réalité du monde m’est pénible et insupportable.
Alors, je me suis payé une dose de rêve, de merveilleux naïf à la mode d’antan, de sagesse ancestrale assaisonnée de beaux sentiments, avec un peu de divin et de recueillement. C’est pourquoi ces récits sont remplis d’un Petit Jésus comme je l’imaginais autrefois et comme je me plais à l’imaginer encore aujourd’hui. J’y ai ajouté de la neige, beaucoup de neige, et un peu de notre vieille langue occitane, comme dans les Noëls d’antan.
Et puis, je dois dire aussi que ça me fait plaisir de redorer un peu le blason de notre merveilleux ancestral bien à nous, au milieu du fatras quotidien et hyper médiatisé du merveilleux anglo-saxon, des sorcières, des Halloween, des Harry Potter, et des fêtes dédiées aux cucurbitacées…

De plus, en écrivant ces histoires je me suis aperçu que je n’avais jamais vraiment quitté mon enfance. Comme beaucoup de gens, je n’ai jamais vieilli dans ma tête et c’est une bénédiction sans aucun doute.
Albert Camus, dans sa pièce « Caligula », fait dire à celui-ci :
« Les hommes meurent et ne sont pas heureux. C’est pour cela que j’ai besoin d’attraper la lune. »
Et moi, c’est aussi pour cette raison que j’ai besoin de croire aux Noëls d’antan.
Je ne dois pas être le seul.
Et tant pis si cela peut paraître ringard, j’en assume joyeusement la ringardise au nom de tous les grands enfants qui restent encore capables de rêver sur cette fichue planète !
Si cela vous dit d’en faire autant, vous n’avez plus qu’à ouvrir le livre et tourner les pages…

A.G






Voici une de ces histoires de Noël


Petite sœur



Petite sœur est malade.
Marc, qui est grand, lui, s’en inquiète. Il se sent presque responsable. Il a six ans et petite sœur n’en a pas deux… C’est lui qui doit veiller sur elle. Papa et Maman le lui ont dit. C’est sérieux.
Petite sœur est malade depuis longtemps. Marc sait que longtemps, comme disent Papa et Maman, ça fait beaucoup de temps. Quand on est malade, il ne faut pas que ça dure longtemps, car alors, on est très malade.
Être très malade, ça fait mourir les gens, et Marc a vu son grand-père mort. Il était allongé, immobile, il ne parlait plus. Il était tout blanc, il était parti, il n’était plus là… On lui a expliqué qu’il était allé chez le Bon Dieu. Au ciel… Seulement, Marc ne sait pas où est le Bon Dieu et le ciel, c’est grand et en plus c’est transparent, on ne voit rien que de l’air, alors ça l’inquiète tout de même.
Marc a bien réfléchi.
Il va demander au Bon Dieu de ne pas prendre avec lui sa petite sœur, comme son grand-père. Parce qu’elle est toute petite, elle n’a pas encore eu le temps de grandir et de s’amuser avec lui. Et puis, Marc voit bien que ça fait beaucoup de peine à Papa et à Maman. Tout ça ne peut plus durer. Ils ont tous les deux des yeux rouges de fatigue à force de veiller la nuit. Ils font semblant de rire et de s’amuser avec Marc, mais il voit bien que ce n’est pas de bon cœur…
Noël approche, c’est bientôt, dans deux ou trois jours. Papa et Maman lui ont demandé ce qu’il désirait demander au Petit Jésus. Marc a répondu qu’il ne savait pas et puis il a ajouté :
— Ce qu’il voudra…
Ce qui n’a pas du tout eu l’air de plaire à ses parents. Ils semblaient inquiets en le regardant. Seulement Marc s’en moque, du cadeau apporté par le Petit Jésus. Il voudrait seulement que la joie et la gaieté reviennent dans la maison. Et pour ça, au lieu de lui apporter quelque chose, le Petit Jésus ferait mieux d’emporter avec lui le mal de petite sœur.
Tiens ! pense Marc, voilà une bonne idée ! Voilà ce que je vais demander au Petit Jésus. J’essaierai de le rencontrer quand il viendra et je lui dirai : «  Petit Jésus, je ne veux pas de jouet, je ne veux rien du tout. Je veux que tu emportes avec toi la maladie de petite sœur et que tu la jettes à un endroit d’où elle ne pourra plus revenir ! »
Plus Marc rumine son idée, plus elle lui paraît bonne. Est-ce qu’il va en parler à Papa et à Maman ? Ce n’est pas sûr. Ils ne vont peut-être pas trouver que c’est une si bonne idée que ça. Les parents, ça ne pense jamais comme on croit. Non, décidément. Il vaut mieux ne rien dire.
Marc ne dira rien, mais il continue à réfléchir à son idée…

*   *   *
Ce soir, c’est la nuit de Noël.
Marc a regardé neiger toute la journée par la fenêtre. La cour du vieux mas est remplie d’une bonne couche de neige. C’est une neige lourde, mouillée, qui pèse et incline les branches et les arbres.
Marc a voulu sortir avec ses bottes pour aller jouer un peu dans la cour. Mais maman ne l’a pas laissé faire très longtemps.
— Tu vas avoir froid aux pieds !
Depuis que petite sœur est malade, maman a toujours peur que Marc ne soit aussi malade…
Mais il a eu le temps, tout de même, de monter sur la faïsse qui surplombe le mas, et de là, il a repéré qu’on voit très bien la cheminée. C’est par là que le Petit Jésus va arriver. Il faudrait qu’il le voie pour lui parler ! Mais comment faire pour le voir ? Ce n’est pas sûr du tout. Peut-être qu’il vaudrait mieux lui écrire une lettre, seulement il ne sait pas écrire encore… Et comme il ne veut rien dire à maman, ni à Papa, c’est un vrai problème. Alors, Marc a eu une autre idée.
En cachette, il a pris dans le tiroir de la commode une petite photo de petite sœur, puis il l’a mise dans une enveloppe. Comme il ne peut pas monter sur le toit, il y a trop de neige, et c’est trop haut, Marc a déposé cette enveloppe sur le sol de la faïsse, juste en face de la cheminée, après avoir dégagé la neige sur une petite butte d’herbe. Le Petit Jésus sera obligé de passer par là, forcément, pour sauter sur le toit, juste en face de la cheminée… Donc il va voir l’enveloppe et il comprendra que Marc lui a écrit. Marc a confiance. Cela ne peut pas rater !

*   *   *

Voici venue la nuit de Noël.
Au mas, le repas du soir a été vite expédié. Maman et Papa n’ont pas le cœur à faire la fête. Bien sûr, ils ont essayé de rire et de plaisanter avec Marc, mais on voit bien que cela ne leur est pas naturel… Marc est allé se coucher de bonne heure.
Dehors, il neige toujours. Marc s’est couché, mais il ne dort pas. Il se fait du souci pour sa lettre. La neige a dû l’ensevelir complètement et le Petit Jésus ne va pas la voir. Marc est inquiet. Il entend des bruits dans la maison : petite sœur pleure et gémit un peu… Papa et maman ne dorment pas, ils ne dorment presque plus. Ils sont là-haut avec petite sœur dans la chambrette.
Marc n’y tient plus.
Il se lève, il s’habille. Il sait faire, il est grand. Il met avec peine ses souliers. Par-dessus ses habits il enfile un gros pull que grand-mère lui a tricoté. Puis encore par-dessus, il met la pèlerine que grand-mère lui a taillée dans celle de grand-père, qui était facteur, autrefois. Mamé l’a rétrécie tant qu’elle a pu, mais elle traîne encore par terre derrière son dos et le capuchon lui est tellement grand qu’il lui retombe jusqu’au nez. Il doit le soulever pour y voir.
Marc entrouvre doucement la porte de sa chambre. Il écoute et n’entend rien. Il regarde et ne voit rien. Il se dirige sans bruit vers la porte d’entrée, tire doucement le loquet et sort.
Dehors, la nuit est noire, froide. Des milliards de flocons de neige voltigent autour de lui dans les airs. Il enfonce dans la neige, plus haut que son genou. Cela déborde un peu au-dessus des bottes s’il ne fait pas attention.
Marc contourne lentement le vieux mas et grimpe avec précaution les escaliers de la faïsse qui surplombe l’arrière de la maison. Il ne faut pas glisser sinon, brrrr ! On tombe dans la neige gelée. On risque de se faire mal.
Finalement, il arrive à l’endroit où il a déposé la lettre au Petit Jésus. Catastrophe ! On ne la voit plus ! Tout est blanc. Comment trouver une enveloppe blanche sous un tapis blanc ? Sapristi ! Marc pense qu’il n’a pas de chance, le Petit Jésus ne va rien trouver ! Zut ! Zut et zut !
Marc décide de rester là à surveiller. S’il voit le Petit Jésus, au moins il pourra essayer de lui parler.
Il s’emmitoufle, car il fait froid, il se pelotonne dans sa vaste pèlerine et ne bouge plus. Le grand capuchon lui tombe sur les yeux. Par-dessous, il surveille. Puis il veille, et ensuite il somnole… C’est long…
La pèlerine se couvre de neige blanche et on entend craquer les branches des pins qui se brisent sous le poids de cette lourde couche gorgée d’eau.
Tout à coup, Marc ouvre les yeux. Il a entendu un bruit léger comme un grattement. Il regarde dans le ciel, il regarde la cheminée. Rien… Rien…
Mais le léger grattement recommence, cette fois du côté de la lisière de la forêt. Marc tourne doucement la tête et risque un œil sous son capuchon. Il voit une forme svelte et élancée qui sort des fourrés. On dirait… mais oui… on dirait un faon… ou une biche. Ce doit être une biche. Mais elle est couverte de flocons blancs. Elle est toute blanche. Cela ressemble à une apparition !
Elle s’avance lentement tout en grattant la neige avec ses sabots antérieurs. Elle gratte pour trouver l’herbe qu’elle mange sans bruit. Marc ne bouge pas. Il regarde avec attention. La biche (mais est-ce bien une biche, ce fantôme blanc ?) s’approche lentement de lui tout en continuant à gratter le sol de ses sabots délicats. Et ne voilà-t-il pas qu’un de ses coups de sabot dégage la lettre de Marc hors de sa gangue de neige ?
Marc est stupéfait. C’est bien sa lettre que voilà ! La biche s’en approche doucement. Elle la renifle, elle la lèche, on dirait qu’elle l’embrasse. Pendant de longues secondes, la biche reste le mufle collé à l’enveloppe. Puis elle lève la tête et regarde Marc. Ou plutôt, elle regarde le petit tas de neige qu’est devenu Marc ! Elle s’approche encore. Sous le capuchon, Marc sent le souffle tranquille de la biche. Il n’a pas peur, au contraire, il se sent content, rassuré… Il ferme les yeux un moment.
Quand il les rouvre, il ne voit plus rien, sauf la lettre posée juste devant son nez. Elle est ouverte et Marc devine la photo de petite sœur qui lui sourit. Alors, ankylosé, gelé, il ramasse la lettre, la range à l’abri sous sa pèlerine. Il se secoue un peu et revient au mas. Il fait tomber la neige de sa pèlerine et rentre. Tout dort. Il remet le loquet, il écoute. Aucun bruit. Ils dorment tous.
Marc retourne dans sa chambre. Il est content, mais il a un petit souci :
Pourvu que je ne me sois pas enrhumé !
Il met la lettre sous son oreiller, se déshabille, s’enfouit bien au chaud sous son édredon de plume, et s’endort comme une souche.
*  *  *
Le matin, maman est venue pour réveiller Marc. Elle a les traits moins tirés que d’habitude.
— Viens vite, tu verras, le Petit Jésus est venu. Et puis, petite sœur va mieux, tu sais. Elle a bien dormi et n’a presque pas toussé cette nuit.
Marc sourit. Il regarde maman.
— Bien sûr, dit-il, je le savais bien. C’est le Petit Jésus qui me l’a dit cette nuit.
Et il montre l’enveloppe avec la photo de petite sœur.
— C’est ma lettre au Petit Jésus.
Maman l’a regardé avec stupéfaction, puis elle l’a serré dans ses bras, elle l’a embrassé. Elle pleurait un peu, mais Marc a bien compris qu’elle était contente quand même !

Alain Gurly
(Extrait du recueil :  « 21 Histoires de Noël  dans les Cévennes d’autrefois »)
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MessageSujet: Re: Un conte de Noël   Un conte de Noël EmptyLun 17 Déc - 16:40

Quel joli conte Alain ! pas de magie, mais de la sincérité d'un coeur aimant sa petite soeur !
Cette biche est bien entendu la rencontre d'un ange envoyé du ciel qui a tout de suite compris le message, provenant d'un coeur si pur, et a voulu y répondre pour le bonheur de toute une famille !
Très bien écrit avec émotion,j'ai suivi ce petit garçon et son amour pour sa petite soeur avec une grande attention, on aurait aimé pouvoir le réconforter !
Merci cher poète de nous montrer que nous n'avons qu'à demander avec un coeur pur pour que l'on nous réponde ! Mais pour cela un effort est toujours nécessaire, ne dit-on pas aide toi et le ciel t'aidera ?
J'aime bien ton avant propos !!! Ce que je pense tu le dis si bien !
calinchat smack

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Sansef Alafin

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MessageSujet: Re: Un conte de Noël   Un conte de Noël EmptyLun 17 Déc - 17:15

Flamme a écrit:
Quel joli conte Alain ! pas de magie, mais de la sincérité d'un coeur aimant sa petite soeur !
Cette biche est bien entendu la rencontre d'un ange envoyé du ciel qui a tout de suite compris le message, provenant d'un coeur si pur, et a voulu y répondre pour le bonheur de toute une famille !
Très bien écrit avec émotion,j'ai suivi ce petit garçon et son amour pour sa petite soeur avec une grande attention, on aurait aimé pouvoir le réconforter !
Merci cher poète de nous montrer que nous n'avons qu'à demander avec un coeur pur pour que l'on nous réponde ! Mais pour cela un effort est toujours nécessaire, ne dit-on pas aide toi et le ciel t'aidera ?
J'aime bien ton avant propos !!! Ce que je pense tu le dis si bien !
calinchat smack

Merci mon amie. Comme tu le conçois aisément je tiens beaucoup à ces contes de Noël qui viennent de si loin dans ma mémoire...

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