Parangon d'harmonie.

Cette chere NATURE est ton domaine, mon cher Dédé...TU Y ES INTEGRE COMME UN DES ELEMENTS PRINCIPAL...puisque tu nous LA decris si bien...MERCI et bises à vous deux...

Lucienne MARTEL a écrit:

Quel grand amoureux du printemps : tu le chantes si bellement dans tes sonnets superbes que j'ai l'impression de m'y trouver déjà. Il est vrai que nous n'avons pas eu d'hiver pour l'instant et que la nature est en avance.
Merci pour cette plume talentueuse que tu nous offres au quotidien avec simplicité
Belle journée
Gros bisous

Bonjour LUCIENNE,

Il est quelque chose de plus doux que le plaisir de recevoir des louanges, c'est le sentiment de les avoir méritées. Aussi, je te sais gré de ces mots de sympathie et de partage que tu m'adresses et qui me vont droits au cœur.

Faire partager ses émotions dans une confraternité réciproque est toujours un gage d’agrément. Le seul art véritable est la motivation et l’inspiration qui nous guident. Les mots se nourrissent et se vêtent du temps qu'on passe à les lire. Des mots à la musicalité des sons, et des images à la linéarité des vers, la poésie se réclame du « chant » pris en charge par l’écriture. Et comme il s’agit d’une représentation de la réalité, un peu comme à l’égard d’un tableau classique, c’est "l’image visuelle" qui appartient à la poésie descriptive. Cette image doit renvoyer qu’une référence unique : ce qu’elle montre. Elle doit s’imposer immédiatement. C'est ce que j'essaie de faire dans mes poèmes bucoliques.

Excellente journée et mes PLUS CHALEUREUX

CARPE DIEM

Luthoriental a écrit:

Bonsoir André

un si riche et si captivant tableau printanier filé en délicieuse sonate par une plume d'or et de lumière

Chaleureuses amitiés de Luthoriental

Bonjour LUTHORIENTAL,

Me voilà une nouvelle fois flirtant avec Dame Nature. Cette fois, c'est au lever du jour, dans un matin de printemps naissant. J'essaie toujours de privilégier les images pour donner à voir et à ressentir la lumière, les couleurs, les formes afin que les paysages ne restent pas figés.

La sérénité, la douceur de vivre, d'observer et de profiter pleinement de paysages reposants est presque devenu un luxe, de nos jours, tellement nous sommes accaparés par le quotidien d'une existence sous tension permanente. Avec la poésie, et surtout quand on a ce privilège de pouvoir l'écrire, nous pouvons à tout moment nous nourrir de ces images enchanteresses qui ravivent d'excellent souvenirs de moments privilégiés passés en compagnie des grands espaces.

UN TRÈS CHALEUREUX MERCI pour tes agréables impressions de lecture.

Sois assuré de TOUTE MA SYMPATHIE et CONSIDÉRATION.

Passe une excellente journée.

CARPE DIEM

Claude3240 a écrit:

Une belle harmonie printanière sous ta belle plume.

Bonjour CLAUDE

Vivre les choses avec la plénitude magique de nos émotions, c’est transformer la surface du réel en créant des images entre le rêve et la réalité. Les poètes ne sont-ils pas un peu des spéléologues de l’âme ? Chaque âme, je crois, est et devient ce qu’elle contemple. Si le schéma de la nature est toujours renouvelé, toujours éblouissant dans les nuances, les couleurs, la lumière et les formes, il faut donc composer avec tous les artifices des tournures de phrases et avec l’émotion du cœur pour que le langage des vers puisse donner, chaque fois, cette impression d’innovation et de vigueur, base même de l’imagination, de la sensibilité et de l’inspiration.

Je suis très sensible à tes mots d'appréciation et de partage, espérant les mériter.

TOUTE MA CHALEUREUSE AMITIÉ ET CONSIDÉRATION.

Je te souhaite une très sereine journée.

CARPE DIEM

Lagantoise a écrit:

Un printemps ciselé comme un diamant....
***DAN***

Bonjour DAN,

J'évite le plus possible la recherche des "effets" pour donner quelque artifice qui ne ferait que tarabiscoter mon écriture. Jamais un poète ne pourrait parvenir à ce "naturel" qui est cher au lecteur en quête, dans sa lecture, de l’émotion et des impressions touchant la fibre du sensible. Il faut donc s’éloigner d’une composition "mécanique" des vers, où la seule préoccupation serait liée aux règles de la prosodie. Au moment de l’écriture, la "technique" est la chose qu’il faut chasser de ses pensées au profit de l’intensité de la phrase et du "tableau" que l’on désire représenter. C'est ce que je m'efforce de faire, les règles et les impératifs des procédés restant présents mais discrets.

MILLE MERCI pour ces impressions qui me procurent une grande satisfaction dans l'humilité, bien entendu.

Excellente journée à toi et MA TRÈS CHALEUREUSE SYMPATHIE.

CARPE DIEM

fripou a écrit:

Rien de tel qu'un cours d'eau languissant au coeur d'un sous bois printanier pour enjoliver les mots du poète.

Bonjour FRIPOU,

Je m'efforce de respecter cette "vision" quand je commets des poèmes bucoliques. Les règles ne sont là que pour "envelopper" discrètement les vers. Si la prosodie reste omni-présente dans chaque mètre, elle est affaire, avant tout, de subconscient. Elle doit agir comme une sorte de métronome mémorisé qui, par la force de l’habitude chez le poète, se détache de l’imagination et de l’inspiration. "Seul le cœur est poète", axiome bien connu chez tous les passionnés de poésie authentique. Autrement dit, le procédé matériel n'est rien, si l’on n'y ajoute la manière sensuelle de s'en servir. Je fais en sorte de respecter au plus près ces critères. Quand j'y parviens, le plaisir et la satisfaction sont plus importants que le propre fait d'avoir concocté des vers.

UN GRAND MERCI, FRIPOU, pour tes mots d'Amitié et de considération.

Excellent après-midi et NOS PLUS AFFECTUEUX

CARPE DIEM

Flamme a écrit:

Dans tes poèmes sur la nature, j'adore quand des petits oiseaux viennent apporter leur douce musique...tes vers deviennent vivants !
Ici : l'alouette grisolle, je ne connais pas le son, mais je l'imagine et je vois ce beau paysage de printemps !
Très agréable cette jolie promenade !
 

Bonjour FLAMME,

Je sais combien tu préfères la poésie de cette facture, chez moi, plutôt que mes autres compositions à caractère didactique. Selon l'humeur du moment, selon l'inspiration, surtout, car j'ai tellement commis de poèmes sur la Nature que j'en viens parfois à me demander si cela n'est pas répétitif, j'écris dans un registre ou dans un autre. J'avoue avec une grande sincérité que j'ai un faible pour les vers bucoliques. J'essaie de les représenter le plus possible comme un "tableau", afin d'y ajouter le "mouvement". Quand j'y parviens, tu ne peux savoir combien la récompense est IMMENSE en lisant des commentaires tel que celui que tu viens de m'adresser.

MILLE REMERCIEMENTS. TRES BON APRÈS-MIDI.

Nous T'EMBRASSONS BIEN AFFECTUEUSEMENT.

CARPE DIEM

MOMO13 a écrit:

Cette chere NATURE est ton domaine, mon cher Dédé...TU Y ES INTEGRE COMME UN DES ELEMENTS PRINCIPAL...puisque tu nous LA decris si bien...MERCI et bises à vous deux...

Bonjour MON CHER MOMO,

Face à la Nature le Poète saisit ce message qui lui est envoyé et auquel il donne son adhésion dans un acte de foi. Il y retrouve le sentiment du sacré qui, dès l'origine, reliait les hommes à l'ensemble de la création, en même temps qu'il "s'incarne" dans une réalité humaine fondée sur le bonheur de la vie retrouvée, authentique.

Oui, c'est vrai, lorsque je suis en contact direct avec ces grands espaces je mets au premier plan ce "carpe diem" qui m'invite à "cueillir le jour" pour en saisir toute la beauté de la lumière, des couleurs et des parfums. Le Romantisme se met en "recherche" et le cœur prend beaucoup plus de place que la raison car c'est un cheminement vers le symbolisme : symbolisme dans l'expression des sentiments, des intuitions.

MILLE pour tes mots d'AMITIÉ ET D'ESTIME, MON CHER MOMO.

Tu sais que tu bénéficies DE TOUTE MA CONSIDÉRATION.

BISOUS CHALEUREUX DE NOUS DEUX.

Agréable week-end (sous la pluie, hélas).

CARPE DIEM