Lucie

Très belle description où a vécu Lucie !
Un sonnet un peu trop court  car tes vers nous racontent si bien ce lieu d'Afrique où les animaux par peur des prédateurs mangent rapidement et brutalement...Les arbres cachent des vies fragiles recherchant un peu de fraicheur et le soleil doit être resplendissant dans le ciel de ce pays. On voit à travers ton sonnet cet endroit où s'est trouvé notre ancêtre. Un petit air de famille quand même ...
 et Merci Alain.

Il est bien agréable de se promener au côté de Lucie, dans ce monde où il fallait déjà songer à survivre...
Bon dimanche

Merci Fripou et Bernadette.
A bientôt.

Étrange sensation à la lecture de ton poème : par ta phrase d'introduction, tu nous plonges loin dans la préhistoire. On imagine l'australopithèque Lucie à travers tes mots comme un être humain en construction et cette sensation étrange d'imaginer le début d'un langage, la poésie étant une sorte d'aboutissement de ce langage.

Une belle lecture en tout cas.

Belle soirée

Amitiés.

Auguinou a écrit:

Étrange sensation à la lecture de ton poème : par ta phrase d'introduction, tu nous plonges loin dans la préhistoire. On imagine l'australopithèque Lucie à travers tes mots comme un être humain en construction et cette sensation étrange d'imaginer le début d'un langage, la poésie étant une sorte d'aboutissement de ce langage.

Une belle lecture en tout cas.

Belle soirée

Amitiés.

Mille mercis d'avoir apprécié cette évocation de notre ancêtre lointaine !

[quote="Sansef Alafin"][color=darkblue]

       Jusqu’à la prochaine trouvaille de l’archéologie préhistorique, la femelle hominienne dénommée Lucie est censée être notre ancêtre la plus lointaine. Son squelette a été découvert il y a quelques années en Afrique de l’Est, dans le célèbre secteur d’Oldoway.
D’après les spécialistes, cette espèce d’hominien venait juste de découvrir la marche et la station debout, ainsi donc qu’un commencement de nomadisme, prélude discret à l’envahissement de la planète par l’homme.


Pourtant, seule, émergeant d'un océan d'herbage,
Fragile, déliée, debout sur ses deux pieds,
Lucie poursuit toujours son immense voyage...


Même impression qu'Auguinou à la lecture de ce magnifique condensé de notre histoire depuis les origines :

"Debout sur ses deux pieds" : libérant ainsi, dans une boîte crânienne oblongue de quadrupède, grâce à la loi de la pesanteur, un espace de plus en plus grand pour permettre la croissance du cerveau, siège de la pensée, l'agrandissement du larynx et l'allongement des cordes vocales, sièges de la parole. Ainsi commence notre histoire d'homos sapiens..

Une histoire passionnante
Merci Alain -
Sans F, car on n'est pas pressé d'en voir la fin..

Amicalement

Trés aimable à toi, Amarante...
Merci !