Le dernier poème du Poète par Shérazade

On a toujours le droit de partager avec ceux qu'on aime...
Il faut arrêter de se poser trop de questions et donner ce que l'on peut donner, un peu, beaucoup, qu'importe... l'important est de partager car comme tu le dis si bien "Aimer est une chance".
Et puis moi ze t'aime aussi alors je viens partager des

Un problème qui nous parle Sylviane, je trouve qu'il est important de pouvoir parler à quelqu'un de confiance...quand on a l'envie de tout abandonner.
Il n'est pas bon de tout garder, car on augmente la détresse, on grossit l'angoisse et on arrive même plus à trouver la moindre solution. On reste dans un brouillard épais qui vous donne le bourdon et qui malheureusement peut mener à la dépression.
Il est vrai que les soucis, les peines et le manque de voir le bout du tunnel sont des tourments sans fin !
Dire la vérité, ne pas vouloir paraitre, demander de l'aide à quelqu'un qui peut prendre sérieusement ses confidences qui sait écouter avec grande attention, prenant ces situations comme les siennes, est pour la personne un véritable partage.
C'est en parlant que l'on trouve la solution, même la plus petite lumière est une porte de secours !
On voit le pour, le contre, on monte doucement cette montagne qui vous écrase, mais on est plus seule pour affronter ces nuits, ces jours, on doit dominer cette détresse, et à deux tout est moins difficile.
Si cette personne a des responsabilités , elle a le devoir de s'en sortir et de faire les efforts nécessaires. Vivre pour les autres devient un but.

Voilà ce que je ressens sur ton poème Sylviane.
Il est triste de voir quelqu'un qui veut tout abandonner...on le sait qu'un jour on n'aura plus rien à faire, que tout cela disparaitra de toute façon, alors autant s'accrocher pour continuer à avancer !
Il est triste ton poète , mais il doit survivre encore et jusqu'au bout de sa vie, de son destin.

Ces rimes seront ses dernières
Trop difficile d'en trouver
Lorsqu’il s'agit d'une prière
Qui le mène à l'éternité


Ces rimes ne sont pas dernières. Ces mots d'amour sont éternels.
Ces vers sont toujours un appel,
Vers ceux qu'il aime SI SINCERE...

Il y a de la peine et des sanglots derrière ce poème, ma puce...et je ne le veux point...ECRIS, ECRIS, ECRIS, encore et encore pour PARTAGER tes ressentis...AVEC TES AMIS....Bises..

     

Je suis touchée par ce poème par sa profondeur, je le comprends 100 pour 100
Isabelle.

fripou a écrit:

On a toujours le droit de partager avec ceux qu'on aime...
Il faut arrêter de se poser trop de questions et donner ce que l'on peut donner, un peu, beaucoup, qu'importe... l'important est de partager car comme tu le dis si bien "Aimer est une chance".
Et puis moi ze t'aime aussi alors je viens partager des

Bien sûr ma FripouNtte qu’on a toujours le droit de partager avec ceux qu’on aime ...
Mais tu sais bien que le droit et moi, on n’est pas toujours d’accord ...
Et alors si j’prends l’gauche, j’te raconte même pas ... Lol !
Et partager ses chagrins, tu parles d’un cadeau pour ceux (hélas plus très nombreux) qu’on aime ... Pour peu qu’ils t’aiment eux aussi, alors c’est la cata pour tous !
Oui aimer est une chance, mais en même temps ça t’oblige à de multiples efforts pour ne pas blesser par ton propre mal-être ... et donc faire semblant comme ce poète nous le raconte ...
Allez, je vais m’arrêter là, sinon, tu vas entendre mes pleurnicheries à la con et ce n’est pas le but ! Je préfère rigoler ... Alors si tu as quelque chose de rigolo à me raconter, surtout fonce !!!!

Gros bisous ma FripouNtte, fidèle amie !

   

Flamme a écrit:

Un problème qui nous parle Sylviane, je trouve qu'il est important de pouvoir parler à quelqu'un de confiance...quand on a l'envie de tout abandonner.
Il n'est pas bon de tout garder, car on augmente la détresse, on grossit l'angoisse et on arrive même plus à trouver la moindre solution. On reste dans un brouillard épais qui vous donne le bourdon et qui malheureusement peut mener à la dépression.
Il est vrai que les soucis, les peines et le manque de voir le bout du tunnel sont des tourments sans fin !
Dire la vérité, ne pas vouloir paraitre, demander de l'aide à quelqu'un qui peut prendre sérieusement ses confidences qui sait écouter avec grande attention, prenant ces situations comme les siennes, est pour la personne un véritable partage.
C'est en parlant que l'on trouve la solution, même la plus petite lumière est une porte de secours !
On voit le pour, le contre, on monte doucement cette montagne qui vous écrase, mais on est plus seule pour affronter ces nuits, ces jours, on doit dominer cette détresse, et à deux tout est moins difficile.
Si cette personne a des responsabilités , elle a le devoir de s'en sortir et de faire les efforts nécessaires. Vivre pour les autres devient un but.

Voilà ce que je ressens sur ton poème Sylviane.
Il est triste de voir quelqu'un qui veut tout abandonner...on le sait qu'un jour on n'aura plus rien à faire, que tout cela disparaitra de toute façon, alors autant s'accrocher pour continuer à avancer !
Il est triste ton poète , mais il doit survivre encore et jusqu'au bout de sa vie, de son destin.
 

Je commencerai par te remercier chère Babette, pour plusieurs de tes commentaires qui m’ont énormément touchée (pas encore répondu à tous peut-être, mais sache que tes mots m’ont vraiment bousculé le coeur).
Et quand mon cœur est touché, ben ... il ne sait plus comment l’exprimer ... Tu vois, comme je suis hyper douée avec mes mots ?!
Ton commentaire sur ce post, je le comprends à fond ! C’est probablement ce que j’aurais écrit à ce poète si je l’avais un tant soit peu apprécié et/ou aimé ...
Mais a-t-il vraiment envie de voir le bout du tunnel ?
Demander de l’aide ? Mais qui donc aurait ce pouvoir de lui faire oublier ses maux si profondément ancrés ? Même en parlant, comment trouver cette solution à un « problème » dont la chair, à jamais ne fait plus partie de ce monde ?
Et si aucune lumière, si petite soit-elle, ne peut ressembler à une porte de secours ?
Il n’attend que ses nuits qui lui font perdre la mémoire en retrouvant ses rêves (même si cauchemars parfois) mais il hait ses matins qui l’obligent à la retrouver.
Comment veux-tu qu’il assume ses responsabilités (si tant est qu’il en ait encore), s’il n’est pas lui-même capable de supporter sa propre existence ?
Son devoir ? Mais il n’a plus aucun devoir ... Juste essayer de se relever pour le bien de ceux qu’il aime ... Voilà que ceci devient une obligation et de nombreux efforts à déployer jusqu’à la vraie fin de sa vie ...
Quant à son destin, lui seul peut en décider ...

UN GRAND MERCI POUR TES MOTS BABETTE !  

Je t’envoie mon tit pigeon préféré pour une livraison de mes bisous en toute amitié !

Superbement émouvant.

Tes mots sont choisis avec finesse et nous emmènent vers une grande émotion dans les deux dernières strophes.

Un grand plaisir de lecture.

Amitiés

Guillaume

MOMO DE MASSILIA a écrit:

Ces rimes ne sont pas dernières. Ces mots d'amour sont éternels.
Ces vers sont toujours un appel,
Vers ceux qu'il aime SI SINCERE...

Il y a de la peine et des sanglots derrière ce poème, ma puce...et je ne le veux point...ECRIS, ECRIS, ECRIS, encore et encore pour PARTAGER tes ressentis...AVEC TES AMIS....Bises..
   

Mon Momo,

Pas envie d’écrire des pleurnicheries qui font pleurer ...
Mieux vaut s’abstenir d’écrire ces choses-là.
Les mots d’amour sont éternels ? OUI ! OUI !
Mais quand vient le désespoir, lui aussi peut être éternel ...
Et celui-ci ne se partage pas ! Il ne le doit pas !

Je t’embrasse très fort mon Momo !
 

pourquoipas a écrit:

Je suis touchée par ce poème par sa profondeur, je le comprends 100 pour 100
Isabelle.

J’en suis heureuse Isa ! Je me sens moins seule là ! Merci !
J’en profite pour te dire combien j’apprécie ta plume ici ou ailleurs, tes poésies sont magnifiques !
Avec amitié toujours.

Auguinou a écrit:

Superbement émouvant.

Tes mots sont choisis avec finesse et nous emmènent vers une grande émotion dans les deux dernières strophes.

Un grand plaisir de lecture.

Amitiés
Guillaume

Merci Guillaume  
Je suis ravie que tu aies pris plaisir à lire le dernier poème du Poète.
Amitiés