L'aurore de mes jours.

L'AURORE DE MES JOURS.

Parmi les églantiers et l'aubépine en fleur,
Tandis que le soleil, en sa splendeur première,
En robe safranée teint d'ocre la lumière,
Dans le chant du matin, l'azur est créateur.

Aux bois énamourés un zéphyr séducteur
Caresse, modéré, la bande forestière ;
Le concert des oiseaux en bord de la clairière,
Charme de gazouillis un décor de douceur.

Mon humeur est pudique, et ma discrétion
Devient idolâtrie ; une perception
De mes sens en éveil devant Dame Nature.

Monarque inconsistant aux pensées de velours,
Soumis, mais souverain, observer me rassure...
De la nuit je ferai l'aurore de mes jours.

ANDRÉ

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Il va falloir la protéger cette Nature si belle !!! Notre terre s"épuise avec les pesticides, notre air devient pourri avec le gaz carboné, la pollution, les océans se vident ...Pauvre Planète. J'espère cette année voir quelques abeilles car l'été dernier que des frelons et des bourdons !

Il est bien beau ce poème, cher André, plein de sérénité avec ces fleurs, ces bois et forêts !
Pour le moment seul Mélenchon en parle et nous demande de changer notre comportement !
Bonne soirée à vous 3
bibi2

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L'aurore de mes jours. 110108034927815720

Flamme a écrit:: Il va falloir la protéger cette Nature si belle !!! Notre terre s"épuise avec les pesticides, notre air devient pourri avec le gaz carboné, la pollution, les océans se vident ...Pauvre Planète. J'espère cette année voir quelques abeilles car l'été dernier que des frelons et des bourdons !

Il est bien beau ce poème, cher André, plein de sérénité avec ces fleurs, ces bois et forêts !
Pour le moment seul Mélenchon en parle et nous demande de changer notre comportement !
Bonne soirée à vous 3

Bonjour FLAMME,

Et MERCI pour ces mots de gentillesse et d'appréciation. J'avoue que le "bucolique" demeure mon thème favori par excellence. Je ne compte plus les poèmes consacrés aux saisons, à la campagne, à la montagne ou même à la mer (dans une moindre mesure).

Amoureux inconditionnel des paysages, je ne peux que m'extérioriser quand j'essaie de les peindre. Tous sont basés sur des moments intenses que j'ai vécus et des regards que j'ai partagés dans le silence et l'admiration de ces immensités que je ne cesse, depuis des années, d'écrire. Mettre en forme ce que l'on a vu, ce que l'on a apprécié, n'est ensuite qu'un agréable travail de mémoire dont les multiples images ne cessent de m'envoûter.

Hélas, nos hommes politiques ont d'autres chats à fouetter que de s'intéresser positivement à la préservation de la Nature. Quelques uns en glissent quelques mots dans leur programme, mais on ne peut pas dire que ce soit leur préoccupation majeure. Juste, sans doute, pour gagner les faveurs de voix écologistes.

MILLE pour tes mots de partage, d'Amitié et de gentillesse.

CARPE DIEM ET UN TOURBILLON DE

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Observer est sans doute un amalgame des perceptions visuelles, olfactives, auditives. Après il est amusant de constater qu'une même observation ne génère pas les mêmes émotions chez ceux qui se prêtent au jeu de l'observation. petitbis

fripou a écrit:: Observer est sans doute un amalgame des perceptions visuelles, olfactives, auditives. Après il est amusant de constater qu'une même observation ne génère pas les mêmes émotions chez ceux qui se prêtent au jeu de l'observation.

Bonsoir Chère FRIPOU,

“Observer" attentivement, c'est se rappeler ensuite plus distinctement, et cela fait partie des plaisirs durables de la vie. Dans la Nature, quand "j'observe" le "silence", en fait, je "l'écoute". C'est aussi une manière de regarder au fond de "soi-même. Il n'y a guère que deux moyens pour connaître : "observer et méditer". Dans ces moments-là on donne à son esprit l'opportunité de se renouveler dans la mobilisation maximale des sens.

BEAUCOUP pour tes agréables commentaires, ton partage et ton Amitié chaleureuse.

UN TOURBILLON DE

CARPE DIEM

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)