Impressionnisme Pyrénéen

IMPRESSIONNISME PYRÉNÉEN

Ce matin mon regard découvrit, grandiose,
Tous les charmes discrets du beau Val de Lutour ;
Et je goûte aux instants la douce symbiose
Qui unit mon ego au champêtre alentour.

Admirateur conquis au décor, à la cause
D’un site consacré, où le lever du jour
M’offre, aux reflets des lacs, quand le soleil s’impose,
Les monts avoisinants qui mirent leur pourtour .

Se laissant deviner, au loin, le Vignemale
Dresse son haut sommet, quand l’espèce animale :
Isards, vautours font corps à l’environnement.

Quand la rivière chante en la Nature fière,
Que le parfum des bois devient rayonnement,
Je vais vers nulle part en terre familière.

ANDRÉ

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

Un poème sur notre belle nature toujours aussi bien décrite !
J'aime bien ton derniers vers :"Je vais vers nulle part en terre familière."
C'est exactement ce que l'on ressent quand on va à l'aventure dans la nature ...
calinchat

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Impressionnisme Pyrénéen 110108034927815720

Flamme a écrit:: Un poème sur notre belle nature toujours aussi bien décrite !
J'aime bien ton derniers vers :"Je vais vers nulle part en terre familière."
C'est exactement ce que l'on ressent quand on va à l'aventure dans la nature ...

FLAMME pour ce chaleureux accueil de ce énième poème sur les paysages d'une nature séductrice et protégée, dont j'aime tant chanter la sérénité et le bien-être qu'elle nous procure.

Quant au dernier vers de ce sonnet, et qui constitue la "pointe", autrement dit qui doit résumer l'ensemble des impressions exposées, je ferai référence au poète Joseph JOUBERT qui, utilisant ce "nulle part", a si bien résumé la vocation qui nous anime : “On ne peut trouver de poésie nulle part quand on n'en porte pas en soi.”

MILLE et un excellent après-midi.

CARPE DIEM

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La poésie se nourrit aux sources de la prose et s'embellit au concerto des mots. (André Laugier)

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