Le déclin d'une vie, et l'espoir...

                                                           
                                                                             Ulysse, le 8 juin 2016

Il faut savoir dépasser les douleurs de la vie, ce qui est loin d'être facile, pour continuer à voir la beauté de l'instant. L'espoir et le souvenir sont les seuls à enjoliver un monde pas toujours rose.

Je sais et je vois Onyx que passé un certain âge, on subit des douleurs, on voit partir des êtres que l'on aime et comme tu le dis si bien avec des vers qui touchent, on en reste pantois, désolé, meurtri voyant l'avenir sombre et sans issue !
Pour ceux qui réfléchissent un tant soit peu, nous ressentons la même chose et heureusement que la vie joyeuse des petits enfants sont les fleurs du printemps.
Je n'ai pas encore de petits enfants, j'espère un jour les voir sourire...pour me donner du bonheur, mes regards se portent sur la nature et sa beauté, ses miracles qu'elle nous offre chaque année quand les petites graines poussent pour nous donner de bons légumes, de belles fleurs !
Merci de venir nous en parler, tu nous manquais !

Un bien merveilleux poème avec ce constat actuel et l'espoir qui revient.

ONYX, je partage ta philosophie, ne nous laissons pas gagner par la morosité que nous impose la maladie et/ou la vieillesse, il y aura toujours des hauts et des bas. Ne retenons de l'instant qui passe que le meilleur et vivons avec l'espoir que sous la terre il existe des truffes et que c'est à nous de savoir les trouver. Il y a un an je me sentais très mal, mon cœur m'occasionnant quelques misères, depuis je vais beaucoup mieux et j'aide mon fils à couler du béton pour faire une terrasse devant sa maison où pouvoir nous réunir cet été avec mes petites filles qui donnent un sens à ma vie.
Pensées amicales: Yvon.

fripou a écrit:

Il faut savoir dépasser les douleurs de la vie, ce qui est loin d'être facile, pour continuer à voir la beauté de l'instant. L'espoir et le souvenir sont les seuls à enjoliver un monde pas toujours rose.

Amie, demain renaît, hier s'efface.

Aujourd'hui est la vie, jouissons sans retenue.

Demain sera demain, peut être...

Amitiés

Onyx

Flamme a écrit:

Je sais et je vois Onyx que passé un certain âge, on subit des douleurs, on voit partir des êtres que l'on aime et comme tu le dis si bien avec des vers qui touchent, on en reste pantois, désolé, meurtri voyant l'avenir sombre et sans issue !
Pour ceux qui réfléchissent un tant soit peu, nous ressentons la même chose et heureusement que la vie joyeuse des petits enfants sont les fleurs du printemps.
Je n'ai pas encore de petits enfants, j'espère un jour les voir sourire...pour me donner du bonheur, mes regards se portent sur la nature et sa beauté, ses miracles qu'elle nous offre chaque année quand les petites graines poussent pour nous donner de bons légumes, de belles fleurs !
Merci de venir nous en parler, tu nous manquais !

Mon amie, tes commentaires me touchent.

Sois sûre toutefois, que certes, l'âge aidant, le physique ne suit plus aussi bien.
Cependant, j'aime à croire que l'esprit est toujours là, aujourd'hui...
La succession précipitée des avatars, m'a plongé dans un état étrange.
Mais qu'importe, la vie est celle là, et se pencher sur le positif est essentiel.
Je m'y efforce, parfois avec succès, d'autres fois avec regrets, et souvent avec douceur.

Les espoirs sont toujours là, les tristesses et douleurs aussi.

Amitiés,

Onyx

Claude3240 a écrit:

Un bien merveilleux poème avec ce constat actuel et l'espoir qui revient.

Merci Claude, l'espoir est toujours là.
Le jour où il sera absent, la fin sera là, dans quelques siècles j'espère...

yvon d'ore a écrit:

ONYX, je partage ta philosophie, ne nous laissons pas gagner par la morosité que nous impose la maladie et/ou la vieillesse, il y aura toujours des hauts et des bas. Ne retenons de l'instant qui passe que le meilleur et vivons avec l'espoir que sous la terre il existe des truffes et que c'est à nous de savoir les trouver. Il y a un an je me sentais très mal, mon cœur m'occasionnant quelques misères, depuis je vais beaucoup mieux et j'aide mon fils à couler du béton pour faire une terrasse devant sa maison où pouvoir nous réunir cet été avec mes petites filles qui donnent un sens à ma vie.
Pensées amicales: Yvon.

Oui, chaque jour réserve ses quelques bienfaits, mais aussi son lot de malheurs qui pleuvent un peu trop drus actuellement...

Comme toi, je m'occupe les mains, afin d'occulter mon esprit, et après une terrasse en bois de plus de 80 m2, je me suis attelé à la construction d'une clôture en bois de 2,5 m de hauteur et 30 m de long sur l'un des cotés de mon jardin. La précédente a été détruite par des intrus. Bravo mon chien pour ta garde efficace, ils en garderont les traces un moment ...


Et la poésie, modestement, est mon exutoire préféré.

Amitiés,

Onyx

André Laugier a écrit:

Bonsoir ONYX,

L'espoir doit rester contagieux, comme le rire, car la douleur persiste pour qui n’a pas d’espoir. Beaucoup le considèrent comme une formule alors que, me semble-t-il, il doit être une pratique.

Comme tu l’exprimes avec une grande sensibilité et beaucoup de sagesse, souvent « Les jours sombres se suivent, et  les douleurs s’enchaînent », de même que durant notre existence nous assistons bien impuissants à la perte d’êtres chers ; sans compter que nous-mêmes nous vieillissons, passant en quelque sorte de la passion à la compassion. Mais comme disait notre Illustre Victor HUGO : »Un des privilèges de la vieillesse, c’est d’avoir, outre son âge, tous les âges à la fois ».


Il est BEAU ce poème car il est spontané et pathétique. Avec des mots simples et chargés d’émotion, tes regards nostalgiques en sont énamourés et donnent une profondeur saisissante à tes évocations. Oui, chaque douleur est une mémoire : Douleur psychique à laquelle s’ajoute une souffrance physique, parfois.

Je ne pense pas qu’il s’agisse toutefois d’un poème entièrement voué à l’affliction, car ton dernier quatrain, à lui seul, est une strophe de positivisme et dans laquelle la référence à des souvenirs heureux, permet d’envisager l’avenir assez sereinement grâce à « une vie bien remplie et bien loin du néant ».


   

TOUTE MA CHALEUREUSE AMITIÉ, et très bonne fin de soirée.

Ton Ami de plume marseillais.

En effet, Ami de plume, l'affliction n'était pas le but de ces quelques vers.
Comme je l'ai dit, écrire me permet de d'évacuer, en quelque sorte, mes humeurs moroses quand elles menacent de me submerger.
Et souvent, comme par magie, les idées positives reprennent le dessus au fil des lignes qui s'écoulent de ma plume.
Quand celles-ci viennent aisément, je continue, sinon je n'insiste pas, à quoi bon...

Et je suis tout à fait en phase avec Victor Hugo, l'un de mes auteurs préféré.

Merci pour ton appréciation qui me touche beaucoup.

Amitiés sincères,

Onyx

Personnellement j'aime le dernier quatrain qui nous offre du rose parmi le noir....Merci de ce beau partage...et je garde espoir pour les jours à venir...

***DAN***

La Craie d'Ardoise a écrit:

Personnellement j'aime le dernier quatrain qui nous offre du rose parmi le noir....Merci de ce beau partage...et je garde espoir pour les jours à venir...

***DAN***

Moi, c'est toujours la fin qui m'intéresse, car c'est de là que viens la vérité, mais pas seulement.
L'espoir est le sel de la vie, sans lui qu'importe le reste ?

Merci à toi d'avoir aimé, ne serais-ce qu'un seul vers.

Amitiés,

Onyx

P.S. Pardonnez moi de ne pas participer aux appréciations des poèmes publiés, mais actuellement, je lis mais n'ai pas le coeur à répondre.

Bonne nuit à vous