Aux intants du silence

AnnieB a écrit:

Quelle belle déclaration, mon chaton. Tout l'amour du monde dans ce sonnet amoureux.
Bisous mes belles

Flamme a écrit:

Je le trouve d'une douceur inimaginable ce beau sonnet !
"Dors, mon ange d'amour, aux draps de mon partage"  

Je ne peux reprendre chaque vers, et pourtant ils le méritent, mais ils me donnent tous une émotion de tendresse que tu as su y déposer par tes mots profonds et amoureux.
C'est important de lire le coeur de la personne aimée.  

           

BON...Je recommence avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE,

BON...Je recommence avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE,

BON...Je recommence avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE,

BON...Je recommence avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE,

fripou a écrit:

J'aime ton souvenir aux instants du silence
Quand la nuit nous sépare inventant ton soleil
Enlaçant d'un rayon mes songes de sommeil
Racontant ton histoire au ciel de l'existence.

Au creux de l'oreiller, l'ombre de ta présence
Brille de mille feux espérant ton réveil
Quand murmure ton souffle à nul autre pareil
Aux étoiles du vent habillées d'évidence.

Ton surnombre sourit aux jours de ma mémoire
A jamais amoureux des échos de ta gloire
Gravés au firmament des tourbillons du temps.

Dors, mon ange d'amour, aux draps de mon partage
Laisse tes yeux rêver à l'été du printemps
Car le matin saura caresser ton visage...  

C'est tout simplement : SUPERBE ! Tu sais combien, dans mes exégèses, je m'intéresse davantage au fond qu'à la forme, tant je reste persuadé que la poésie est d'abord une affaire d'émotions et de sentiments, saupoudrée de technique.

Mais alors là, je suis sincèrement en admiration devant cette parité entre des vers excellemment ciselés, ces césures franches à l'hémistiche, en même temps que cette pâte sonore qui donne toute la souplesse et la musicalité à ce sonnet. Ce n'est pas de la flatterie de ma part que de transmettre mon ressenti très positif à la lecture de ce poème : c'est une évidence et une preuve de ma grande satisfaction de lecture.

Que de métaphores habiles et pénétrantes, comme par exemple : "J'aime ton souvenir aux instants du silence", ou encore "Laisse tes yeux rêver à l'été du printemps". Ces images là sont d'une inspiration lyrique et font résonner la fibre sensible du lecteur que je suis.



de servir le sonnet avec autant d'intensité et de relief.

de toute la famille marseillaise.

PS - Ayant vu aux informations les feux de forêt qui ravagent la région bordelaise depuis plus de 48 heures, j'en profite pour te demander si vous n'êtes pas concernées par ce sinistre. J'espère bien que non.

MOMO13 a écrit:

BON...Je recommence avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE,

avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE
h2]BON...Je recommence avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE,[/h2]
avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE

BON...Je recommence avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE,

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h2]BON...Je recommence avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE,[/h2]
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h2]BON...Je recommence avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE,[/h2]
avec ANNIE, ANNIE, ANNIE, ANNIE


ELLE VA VENIR...Comment resister à un momo qui se meurt d'impatience ??????

CLARI a écrit:

Bonjour ma chère Fripou,


Tu es une spécialiste des sonnets parfaits, nous le savons tous, mais j'adore particulièrement celui-ci, qui est un hymne à l'Amour plein de tendresse et d'émotion.


Merci pour ces mots vibrants venant droit de ton coeur.


Un grand bravo !


Merci de partager.
   Doux dimanche

André Laugier a écrit:

C'est tout simplement : SUPERBE ! Tu sais combien, dans mes exégèses, je m'intéresse davantage au fond qu'à la forme, tant je reste persuadé que la poésie est d'abord une affaire d'émotions et de sentiments, saupoudrée de technique.

Mais alors là, je suis sincèrement en admiration devant cette parité entre des vers excellemment ciselés, ces césures franches à l'hémistiche, en même temps que cette pâte sonore qui donne toute la souplesse et la musicalité à ce sonnet. Ce n'est pas de la flatterie de ma part que de transmettre mon ressenti très positif à la lecture de ce poème : c'est une évidence et une preuve de ma grande satisfaction de lecture.

Que de métaphores habiles et pénétrantes, comme par exemple : "J'aime ton souvenir aux instants du silence", ou encore "Laisse tes yeux rêver à l'été du printemps". Ces images là sont d'une inspiration lyrique et font résonner la fibre sensible du lecteur que je suis.

         

de servir le sonnet avec autant d'intensité et de relief.

de toute la famille marseillaise.

PS - Ayant vu aux informations les feux de forêt qui ravagent la région bordelaise depuis plus de 48 heures, j'en profite pour te demander si vous n'êtes pas concernées par ce sinistre. J'espère bien que non.